D’après l’auteur, qui se cache sous le nom de Simplicius Aiguillon, ils sont 5 000 à contribuer à la faillite de la France. Hauts fonctionnaires, politiques, grands patrons du public ou du privé, communicants, etc…
réforme
Lors de son intervention du 14 juillet, François Hollande a affirmé que « la reprise économique était là ». Se trompe-t-il de pays ? D’après les prévisions, la France connaîtra une hausse du PIB de 0.9 % en 2014 alors que, de l’autre côté de la Manche, en Grande-Bretagne, elle atteindra 3 %. Trois fois plus !
L’article de Nicolas Lecaussin consacré au “dialogue social” est largement cité par Ivan Rioufol dans son Bloc-Notes du Figaro (11 juillet). Lire. Documents joints
La France continue sa chute avec des prévisions de croissance revues à la baisse, soit 0,7%, pour cette année par le FMI, et une dette qui s’envole, proche de 2 000 milliards et bientôt au-delà de 100% du PIB. Le premier ministre veut « sortir la France de ses blocages ». « Mon obsession, dit-il, c’est le mouvement, la réforme… » (Les Echos du 2 juillet). Et il s’engage en effet dans de nombreux chantiers pour soutenir les entreprises et la construction de logements, pour réduire certains impôts, pour redessiner les collectivités locales… Mais l’agitation n’est pas une politique. La réforme n’est pas bonne en soi, elle n’est pas utile si elle n’est pas ordonnée à une vision juste et cohérente, et structurée par des principes d’efficacité. Or tel n’est pas le cas.
À bien des égards, la France ressemble à la Grande-Bretagne des années 1970 : malgré la montée rapide du chômage et une dette croissante, il est impossible de réformer ce pays tenu par les syndicats. Nos élus, le plus souvent, cèdent face à la pression syndicale. Il y a maintenant 30 ans, le Royaume-Uni a réussi à rompre avec ce pouvoir de la rue, qui va à l’encontre de l’état de droit.
Sous l’égide de Margaret Thatcher, le pouvoir britannique a ainsi pu mettre en œuvre les réformes nécessaires et remettre l’économie sur le chemin de la croissance et du plein emploi. À l’heure où le dialogue social semble avoir vécu en France, quelles leçons peut-on tirer de l’exemple britannique pour l’avenir des réformes structurelles en France ?
L’article de Lucas Léger consacré à la taxe de séjour est cité dans la Matinale du quotidien l’Opinion du 7 juillet. Lire.
Le Pacte de responsabilité ne fera pas baisser le chômage
L’article de Nicolas Lecaussin à partir de l’Etude de l’IREF a été publié par le quotidien Les Echos dans son édition du 30 juin. Lire l’article. Documents joints article_les_echos_2_.pdf
Après les cheminots, c’est au tour du personnel de la navigation aérienne de lancer un mouvement social. Les deux principaux syndicats protestent contre le plan de performance européen qui sera proposé par la France le 30 juin à Bruxelles. Ce plan vise à réduire le coût du contrôle aérien, tout en assurant la remise à niveau de la technologie utilisée par les contrôleurs. D’un côté, les syndicats craignent la privatisation de plusieurs services qui sont directement liés au contrôle aérien, comme la météo ou la maintenance des services d’installation. De l’autre, la profession s’attache à des privilèges obsolètes, alors qu’ils sont dénoncés depuis de nombreuses années aussi bien par la Cour des comptes[[COUR DES COMPTES, La gestion du personnel de la navigation aérienne : une organisation du travail opaque, des négociations sociales déséquilibrées, février 2010.]] que le Sénat[[SÉNAT, Le statut des contrôleurs aériens, décembre 2002.]].
… pour être dans la moyenne de l’OCDE. C’est ce qui ressort de l’Etude que l’IREF vient de réaliser en collaboration avec l’association Contribuables Associés. En France, la proportion d’agents…
Le gouvernement de Mariano Rajoy a décidé de donner de l’air à son économie. Après avoir fait des coupes massives dans les dépenses publiques (de 47 % du PIB en…