Le gouvernement reconnaît un problème dans le nouveau mode de calcul de l’assurance chômage. Celui-ci serait moins favorable aux salariés ayant connu une période de chômage partiel ou ayant eu…
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Plus éclairés que leurs gouvernants, les Français veulent moins de dépenses publiques !
Selon nos responsables politiques, qu’ils soient au gouvernement ou dans l’opposition, les Français sont attachés à l’Etat-providence. Avec notre sécurité sociale monopolistique, notre système de santé que le monde entier nous envie, et notre école de la République, la structure de l’Etat français fait partie de notre modèle social national.
Pourtant, un sondage d’Ipsos publié par le ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance, démontre le contraire. Une large majorité des Français interrogés considère que la dette est un problème, et que, pour la diminuer, il est nécessaire de réduire les dépenses publiques.
Réforme de l’assurance chômage : Mme Borne, privatisez et ouvrez à la concurrence !
La réforme de l’assurance chômage chère à Emmanuel Macron et à Elisabeth Borne, ministre du Travail, devrait entrer en vigueur, par décret, le 1er juillet prochain. Avec des négociations amorcées le 9 novembre 2018 entre gouvernement et partenaires sociaux, la refonte de cette assurance mécontente aussi bien la CGT (comme à son habitude) que les syndicats patronaux (Medef et CPME).
Cette réforme se veut génératrice d’économies considérables. Mais ces économies se font en réalité sur le dos des plus gros cotisants, en particulier les cadres et les entreprises. Pour vraiment réformer l’assurance chômage, il faudrait la sortir du carcan étatiste et la transformer en une véritable assurance, privée et concurrentielle. Le chômage est un risque, au même titre qu’un accident de voiture. Une telle réforme réaliserait des économies encore plus conséquentes pour l’Etat. Mais le chômage échapperait à son contrôle…
La privatisation de la rente de la Française des jeux à l’œuvre pour créer un fonds pour l’innovation de rupture illustre l’incapacité de l’État à mener un véritable et nécessaire dégraissage.
Notre collaborateur, Ferghane Azihari, est l’invité (07/11) de Sud Radio pour débattre de la privatisation de la Française des Jeux. Regardez et Ecoutez l’émission.
Autoroutes : quand l’anti-capitaliste Thomas Porcher reconnaît les bienfaits des privatisations
Quel est l’intérêt d’un pays à privatiser une industrie ? À en croire les discussions qui portent sur Aéroports de Paris ou les autoroutes, cet intérêt concernerait en premier lieu les finances publiques.
La privatisation du groupe ADP fait craindre que l’État ne « brade » son patrimoine. Les adversaires de cette vente n’hésitent pas à évoquer le précédent des concessions autoroutières pour agiter le spectre d’une vente au rabais. Par ailleurs, certains restent convaincus que les infrastructures aé-roportuaires ne sont pas solubles dans un régime de propriété privée. Cet argument est-il valable ? Comment répondre à la crainte légitime d’une mauvaise gestion patrimoniale qui léserait les fi-nances publiques ?
3 mauvais arguments contre la privatisation de la société Aéroports de Paris
La loi PACTE prévoit la privatisation de la société Aéroports de Paris, aujourd’hui détenue par l’État français à hauteur de 50,6%. Cette privatisation semble cependant faire l’unanimité contre elle. Gauche et droite sont unies dans un même élan anti-capitaliste. Tour d’horizon des (mauvais) arguments contre cette privatisation plus que bienvenue.
La politique joue à fronts renversés. Au Sénat, après avoir retoqué la privatisation de la Française des Jeux en commission, Les Républicains se sont associés aux socialistes pour voter en séance, le 5 février, contre la privatisation d’ADP. « Moi qui suis un libéral, je considère que privatiser un monopole, c’est donner une rente financière au privé indûment », avait déclaré Bruno Retailleau, le patron des sénateurs LR.
Brésil : le candidat Bolsonaro a compris qu’après la corruption et l’échec socialiste, c’est l’heure des réformes !
Les « progressistes » ont été choqués par le score du candidat Jair Bolsonaro aux élections présidentielles qui ont eu lieu aux Brésil. Avec 46 % des voix, il a failli être élu au premier tour ! Immédiatement, on a crié au loup en soutenant qu’il ‘agit d’un candidat d’extrême droite. On en est loin, surtout sur le plan économique car il est un adepte de la libéralisation, des privatisations – y compris de la grande société nationale Petrobras – et de l’ouverture à la concurrence.
Il veut combattre efficacement la corruption mais il n’a jamais dit qu’il allait changer la Constitution qui est très claire concernant les limites de l’intervention des militaires. C’est un libéral-conservateur qui a attiré les votes de toute une population lassée des échecs du socialisme et de la corruption des politiques, comme nous l’explique très bien Paul Beaumartin, investisseur français depuis de longues années au Brésil.