Le rassemblement des patriotes européens est lancé, titre le communiqué de presse du Rassemblement National. Seize formations politiques européennes, dont la Ligue de Matteo Salvini, le PiS du président polonais Andrzej Duda, le Fidesz de Viktor Orban, le RN et d’autres comme Vox en Espagne ou le Parti de la liberté d’Autriche (FPÖ), ont signé une déclaration commune sur l’avenir de l’Union européenne. Ils critiquent notamment « la voie fédéraliste [que prend l’Union européenne] qui l’éloigne inexorablement des peuples qui sont le cœur battant de notre civilisation. » Les signataires de la déclaration, issus (hors Fidesz) des groupes Identité et Démocratie (ID) et Conservateurs et Réformistes européens (ECR) au Parlement européen, plaident « pour une Europe respectueuse des peuples et des nations libres », et n’acceptent pas « que les peuples soient soumis à l’idéologie bureaucratique et technocratique de Bruxelles qui impose ses normes dans tous les pans de la vie quotidienne. »
politiques
Les écologistes ont désormais leurs champions sur la ligne de départ pour la primaire. Les principales têtes sont connues : Julien Bayou, Yannick Jadot, Éric Piolle, Delphine Batho, Sandrine Rousseau.…
Le jeune Emmanuel Macron est devenu un vieux démagogue étatiste et le « macronisme » un leurre politique
Nombreux étaient ceux qui, en 2017, nous avaient reproché de critiquer « trop vite » le nouveau président Macron. Il fallait « attendre », selon eux, pour connaître ses intentions, voir ce qu’il allait faire comme réformes. A l’IREF, nous avons été très sceptiques dès le début. Le nouveau parti n’était pour nous qu’un siphonage de l’ancien PS. Les nouveaux politiques, mis en vitrine comme des mannequins de la société civile, n’avaient aucun charisme ni, surtout, aucune idée. Le nouveau président, à force de vouloir rassembler à gauche et à droite, a vite dérouté tout le monde : ses opposants mais aussi les électeurs. En tant qu’énarque, il a prouvé qu’il restait attaché à l’Etat providence et pratiquement toutes ses mesures n’ont fait que renforcer la chape étatiste qui étouffe la France. Il a centralisé encore plus que ses prédécesseurs. Il a sans vergogne traité les Français comme des enfants, leur servant, sans vergogne non plus, le baratin de la participation démocratique, cette poudre magique qui permet de détourner l’attention. Bref, Jupiter, c’était Harry Potter à Poudlard. Juste un peu moins doué.
Il est de plus en plus question de faire payer les (plus) riches. Il s’agit des individus mais aussi des entreprises (multinationales) qui devraient être taxées encore plus. On parle même du retour de l’ISF, de l’augmentation des droits de succession et notre ministre de l’Economie, M. Bruno Le Maire, se vante d’avoir contribué avec succès à l’instauration d’une imposition mondiale minimale des entreprises. Quel exploit pour la France ! M. Le Maire devrait plutôt se poser cette question : pourquoi l’Irlande par exemple, qui taxe moins les entreprises que la France (12.5 % contre 33 %), a-t-elle plus de rentrées fiscales (3.14 % du PIB) grâce à son taux d’IS que la France (2.24 %) ? Et pourquoi ce pays autrefois très pauvre a-t-il, aujourd’hui, un PIB par habitant presque deux fois plus élevé que celui de la France (60 200 euros contre 33 100 euros, 2019) ? On est (presque) sûr que le ministre ne s’interrogera pas…
Les Français ont raison de ne pas voter car les candidats leur disent tous la même chose : assistanat et redistribution
Presque 70 % des électeurs ne sont pas allés voter ce dimanche. C’est énorme et c’est de plus en plus souvent que l’abstention est le grand « vainqueur » des…
Le dernier prix Goncourt a été accordé au roman L’Anomalie. On sait bien, évidemment, que Jean-Luc Mélenchon n’en est pas le héros. Mais le titre lui sied parfaitement. Ce personnage apparemment désarticulé qui s’agite dans le paysage politique français, secoué de colères frénétiques et de rages baveuses, paraît trop déglingué pour être vrai. Cependant, ses harangues dictatoriales, ses diatribes contre les riches, le capitalisme, la mondialisation, les institutions de la Ve République, atteignent quelques cibles. Et comme le Goncourt, il vend. Les médias sont sensibles à ce genre de charme et des Français – surtout des jeunes – votent pour lui. Il a obtenu presque 20 % des voix aux élections présidentielles de 2017 et dans certaines régions il a été très proche de 25 %.
Hubert Védrine, Fabien Roussel et le « débat » sur les 100 ans du Parti communiste chinois
« Passé, Présent et Futur du Parti communiste chinois ». C’était le sujet du débat organisé par l’Ambassade de Chine le 10 juin dernier. Que Fabien Roussel, secrétaire national du…
Face à l’insécurité en Île-de-France, tous les candidats aux élections régionales aiment la police
Entre les accusations de contrôles au faciès et celles de violences, les policiers ont mauvaise presse depuis quelque temps. Mais comme la sécurité est la préoccupation majeure des Français pour…
579 partis politiques, majoritairement inactifs, perçoivent 66 millions €
En 2020, le nombre de partis politiques en France était de 579. Si, parmi ces formations, figurent les grands partis politiques comme de plus petits, on trouve surtout des micro-formations…
L’histoire d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris est celle d’un gaspillage d’argent public et d’un manque de respect envers les contribuables. Elle s’autorise des libertés personnelles et fait preuve…