Comme tous les ans, le Journal du Dimanche publie le baromètre des 50 personnalités préférées des Français. Une fois de plus, aucun entrepreneur ne figure dans cette liste. A croire…
politiques
Baisse des résultats scolaires et hausse des inégalités : la faillite des politiques publiques est évidente ! Ce qu’il faut c’est l’autonomie et la concurrence.
Evry : Taux de chômage à 18 % et 45 % de logements sociaux
Manuel Valls a annoncé sa candidature à la présidence de la République à Evry, ville de la banlieue parisienne dirigée par les socialistes depuis 1977 et où le taux de…
Existe-t-il un vote libéral en France ? Hélas, pas encore… Le vote libéral est aujourd’hui « impossible et stérile », écrit avec lucidité le professeur Jacques Garello dans son dernier essai, publié aux Editions Libréchange. « Impossible », car il n’y a pas vraiment d’offre politique libérale de la part d’une classe politique biberonnée à l’argent public et qui a tout intérêt à faire vivre l’Etat providence et « stérile » car la seule fois où la France a eu un candidat libéral – Alain Madelin en 2002 – les électeurs n’ont pas vraiment cru en lui à cause d’une campagne électorale très ambigüe.
La droite extrême ressemble parfois à la gauche et engrange des voix sur tous les terrains en trompant souvent son monde. Mais alors que le Front national s’affiche résolument étatiste et collectiviste, Robert Ménard, maire de Béziers, fait briller une petite lueur différente et pourtant paradoxale. Jean-Philippe Delsol analyse les programmes présentés par l’un et l’autre au travers d’une part d’un commentaire de l’ouvrage de Maël de Calan « La vérité sur le programme du Front national » et d’autre part d’une présentation critique des cinquante mesures proposées par le rassemblement curieusement intitulé « Oz la droite » qui veut réhabiliter l’identité française en la baptisant dans une orthographe digne de certaines banlieues.
Le programme d’Alain Juppé serait-il « résolument libéral » comme cela a été présenté dans plusieurs médias ? L’homme providentiel qui terrassera le fléau du chômage en 5 ans serait-il réellement arrivé ? Le réformiste d’une France repliée sur elle-même et sur ses petits privilèges corporatistes émergerait-il enfin ? Une analyse de ses premières propositions peut permettre de répondre à la question. Un petit détour par un rappel d’où vient l’homme pourra en outre aider à porter une appréciation plus précise.
Si vous voulez être membre du Conseil Constitutionnel, faites de la politique et entrez dans la fonction publique !
La 2ème édition des Gaspards de la politique, organisée en partenariat avec l’Opinion, aura lieu mercredi 11 février. Comme l’année dernière, ce prix récompensera les phrases les plus anti libérales…
Au moment où la France refuse toute réforme « systémique » et s’accroche à un système par répartition en train d’exploser, d’autres pays ont choisi la capitalisation, pour une part dominante (Suisse) ou subsidiaire (Allemagne). La transition est bloquée en France pour des raisons corporatives (privilèges des régimes spéciaux), voire idéologiques.
Avec la « réforme des retraites », la question de la « pénibilité au travail » revient sur le devant de la scène. Mais nos politiques devrait savoir que la…