La légalisation du cannabis est un projet porté depuis longtemps par une partie de la gauche, et aujourd’hui par un spectre politique beaucoup plus large. De plus en plus d’enseignes…
politiques publiques
Comme on le sait, Friedrich Hayek a écrit un livre remarquable, Droit, législation et liberté, et le titre du deuxième volume est Le mirage de la justice sociale. Friedrich Hayek explique de manière convaincante que l’expression « justice sociale » n’a pas de sens. Ainsi, il écrit dans la préface de ce volume :
« Démontrer qu’une expression universellement employée, et incorporant pour bien des gens une croyance quasi-religieuse, n’a absolument aucun contenu et ne sert qu’à insinuer qu’il nous faut consentir à ce que réclame un certain groupe, voilà qui est beaucoup plus difficile que de prouver qu’une conception est fausse. »
Friedrich Hayek réussit brillamment à démontrer de manière très rigoureuse l’inanité du concept de « justice sociale » et on peut penser que tout a été écrit par Friedrich Hayek et qu’il ne faut pas essayer de débattre de la justice sociale.
Nous ne critiquerons certainement pas ce qui a été écrit par lui, ni n’essaierons de résumer son livre. Mais nous pensons que ce sujet est si complexe et si important qu’il est peut-être possible d’ajouter quelques remarques à ce qui a été définitivement écrit par Friedrich Hayek.
Quand les travaux de l’IREF ont des répercussions au Parlement
A l’occasion du projet de loi de finances (PLF) et du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2022, la question de la fiscalité du tabac à chauffer est venue à plusieurs reprises dans les débats à l’Assemblée nationale et au Sénat, en commissions comme en séance publique.
Sans doute à l’instigation du lobby anti-tabac, comme le Comité de lutte contre le tabagisme (CNCT) avec lequel l’IREF a déjà eu maille à partir, un amendement a été adopté au Sénat le 18 novembre pour alourdir la fiscalité sur le tabac à chauffer.
Philippe Juvin a inscrit dans son programme l’idée de flécher l’impôt sur le revenu selon le souhait du contribuable. Il ne s’agit là que de l’extension d’une idée chère à la gauche. Mme Hidalgo a institué à Paris un budget participatif pour « renforcer les liens entre les citoyen.ne.s, les institutions et leurs représentants, assurer toujours davantage de transparence et renforcer la codécision relative à ses investissements, conforter la pédagogie de l’action publique et s’appuyer sur l’expertise et la créativité des Parisiennes et Parisiens pour inventer, ensemble, une ville plus résiliente et plus solidaire ». A ce titre 25 % du budget d’investissement de la Ville de Paris est décidé de manière participative « en offrant la possibilité à tou.te.s les Parisien.ne.s de proposer des projets qui, s’ils sont votés, seront réalisés ou financés par la Ville ».
Congrès des Républicains : analyse et comparaison des programmes des cinq candidats
Xavier Bertrand, Michel Barnier, Valérie Pécresse, Philippe Juvin et Éric Ciotti. Voilà les cinq candidats qui vont se disputer l’investiture LR pour la présidentielle de 2022. Leurs propositions sur l’immigration et la sécurité étant proches, différant plus sur l’intensité que sur le fond, nous allons nous concentrer sur l’économie, les dépenses publiques et la fiscalité, avec un rapide détour par l’agriculture et l’éducation. Le projet des LR pour 2022 était loin d’être convaincant ; les cinq programmes qui sont exposés aux adhérents ne sont pas non plus enthousiasmants. Comparaison.
États-Unis : record de mortalité par overdose, en particulier dans les États qui ont légalisé le cannabis
Les États-Unis ont enregistré leur plus grand nombre de décès par overdose sur une période de 12 mois, dépassant les 100 000 morts pour la première fois. Selon les données…
Projet des Républicains pour la France de 2022 : l’étatisme toujours au rendez-vous
Le congrès des Républicains aura lieu du 1er au 4 décembre prochain. Les adhérents LR ont refusé, à une majorité de 58 % et avec un taux de participation de 50 %, la primaire ouverte comme en 2016 qui avait réuni plus de 4 millions d’électeurs. La désignation du candidat de « la droite » ne sera donc l’affaire que des 100 000 militants déclarés. La direction du parti a également exclu un candidat au congrès, l’entrepreneur Denis Payre, sans aucun motif valable, si ce n’est l’entre-soi politique et idéologique. Si les cinq candidats (Michel Barnier, Xavier Bertrand, Philippe Juvin, Valérie Pécresse et Eric Ciotti) affinent leurs programmes, leur parti a, lui, publié une brochure de 40 pages intitulée « Notre projet pour la France 2022 ». Elle servira probablement de base au programme du candidat désigné, et surtout aux futurs députés et sénateurs Les Républicains. Divisé en trois parties (Protéger – Libérer – Rassembler), ce projet est en réalité loin de répondre aux nécessités de réforme dont la France a besoin.
Sécurité routière : l’État n’a pas le droit de jouer au chat et à la souris avec les automobilistes
Alors que des progrès extraordinaires ne cessent d’être accomplis dans le perfectionnement et la précision des instruments de mesure de tous ordres – poids, lumière, dimensions, résistance, temps (chronomètre au millième de seconde) etc. – les compteurs de vitesse de la plupart de nos voitures demeurent étrangement approximatifs, au point qu’ils ne donnent leur juste mesure que quand le véhicule est rigoureusement à l’arrêt. Sans prétendre à une précision absolue, qui donc, en conduisant, n’a jamais rapproché la vitesse indiquée par le compteur serti dans le tableau de bord de son véhicule de celle affichée par le GPS fixé au pare-brise en constatant un écart important, puisqu’il est admis que les compteurs classiques « surexposent » la vitesse effective indiquée par le GPS de l’ordre de 5 à un peu moins de 10%?
Les associations de défense des consommateurs dans le viseur de la Cour des comptes
Union fédérale des Consommateurs – Que choisir, Familles rurales, Confédération nationale du logement, Association force ouvrière consommateurs… Autant d’associations de défense des consommateurs bien connues du grand public. Ce que beaucoup ignorent cependant, c’est que ces organismes « indépendants » reçoivent des financements publics. La Cour des comptes, elle, ne l’ignore pas et livre un rapport accablant sur ces pratiques.
Le titre de son livre est trompeur. On s’attend à un programme de campagne électorale présidentielle. Ce n’est pas le cas, à un sujet près, l’immigration, préoccupation principale d’Eric Zemmour, pour lequel il propose un programme qu’il veut faire approuver par référendum : fin du droit du sol, de la double nationalité (notamment pour les délinquants), du regroupement familial, encadrement du droit d’asile, préférence nationale pour les allocations familiales, le logement, etc.