La croissance européenne bégayant et la crainte d’une déflation mettant la BCE sous pression, devraient pousser à adopter une politique monétaire plus souple.
politique
L’étrange défaite de la France dans la mondialisation
Olivier Marteau est chef d’entreprise. Son expérience du terrain, ses déplacements (il passe la moitié de l’année à l’étranger), ainsi que ses connaissances de l’économie l’ont poussé à écrire cet ouvrage qui montre, preuves à l’appui, comment la France a perdu la bataille de la mondialisation. Enarques, politiques incompétents et étatistes, dépenses publiques extrêmement élevées ainsi qu’une imposition confiscatoire font partie des principaux chefs d’accusation de l’auteur. Sans langue de bois mais avec une solide argumentation chiffrée et comparative, Olivier Marteau passe en revue les ravages de l’Etat providence …
Dans une interview accordée au quotidien Les Echos (10/02), notre Ministre du Redressement productif nous donne ses remèdes miracles pour sauver l’économie française.
En dépit des évidences, et malgré le reflux des idées keynésiennes, certains ne désarment pas : le profit, l’appât du gain et l’ultralibéralisme expliqueraient la crise, et l’Etat affaibli ne pourrait contrôler le pouvoir des riches. Mais qui croit encore à cette fable ? L’opinion publique ouvre enfin les yeux.
Il n’y a rien de pire en France que d’être riche et libéral. C’est la conclusion de plusieurs ouvrages qui viennent de sortir, et donnent une lecture décalée de la crise et de ses origines. L’originalité de la chose, c’est que les auteurs ne passaient pas jusqu’à présent pour des doctrinaires de gauche.
Lors de la cérémonie des Vœux de la Fédération Française des Télécoms, le ministre du Redressement productif a rappelé sa position à l’égard de la concurrence. A ses yeux, il…
Au moment où la France refuse toute réforme « systémique » et s’accroche à un système par répartition en train d’exploser, d’autres pays ont choisi la capitalisation, pour une part dominante (Suisse) ou subsidiaire (Allemagne). La transition est bloquée en France pour des raisons corporatives (privilèges des régimes spéciaux), voire idéologiques.
La sécurité de l’approvisionnement n’est plus assurée, l’énergie coûtera de plus en plus cher et les émissions de CO2 ne diminueront pas. Ce constat d’échec est fait par Jean Pierre Riou, président de Mont Champot, dont l’IREF reprend l’analyse.
L’IREF a posé la question à deux d’entre eux : Axel Arnoux qui dirige la grande entreprise Chauvin & Arnoux, avec plus de 1 000 salariés, et à Julien Leclercq, patron d’une PME de 45 personnes et auteur d’un livre très remarqué (« Chronique d’un salaud de patron »).
Le professeur Jacques Garello démontre, dans cet essai pédagogique et solidement argumenté, que la seule solution qui nous reste est de changer de système. Car la retraite par répartition a créé des inégalités et se trouve actuellement en faillite. Tandis que la retraite par capitalisation est adoptée un peu partout dans le monde avec beaucoup de succès. Les politiques français refusent de voir la réalité en face. Ils se cachent derrière l’idéologie de la répartition alors que la capitalisation serait beaucoup plus avantageuse pour les retraités et pour l’économie française. Pour sauver les retraites, on a tout essayé sauf…ce qui marche. Avis aux décideurs politiques !
Achetez le livre auprès de votre libraire ou en envoyant le Bon de commande à l’éditeur ou en le commandant en ligne :
Amazon | FNAC
Et participez au colloque sur les retraites que nous organisons le mardi 21 janvier !
Rentabilité, efficacité et pragmatisme sont des adjectifs que l’administration française a depuis longtemps rayés de son vocabulaire. La volonté de réduire les gaz à effet de serre est louable, sauf lorsqu’elle se bute aux réalités économiques, qui sont souvent à contre-courant des objectifs abracadabrantesques de nos gouvernements en matière d’environnement. Ce n’est pas en subventionnant des filières non rentables, en incitant à manger local et/ou biologique et en triant ses déchets que l’on sauvera la planète.
Par exemple, les subventions dans les secteurs éolien et solaire sont des aberrations permettant à de nombreuses entreprises non pas de prospérer mais de survivre. De ce point de vue, notre politique énergétique n’a aujourd’hui aucun sens, et, une fois n’est pas coutume, c’est l’Allemagne qui nous en apporte la preuve. Il nous faut maintenant arrêter de céder aux lobbys et réfléchir à des solutions de long terme et financièrement viables pour faire face aux différents défis environnementaux et énergétiques.