La France est la première destination touristique européenne et espère attirer cette année plus de 87 millions de visiteurs. Le tourisme est un secteur important de notre économie, il contribue annuellement à 4 % de la création de richesse et emploie près de 3 millions de personnes directement ou indirectement. Pourtant, l’Assemblée Nationale vient de voter la hausse de la taxe de séjour (jusqu’à 8 euros par nuit et par personne selon les catégories d’hôtels). Selon les députés qui défendent cet amendement, cette taxe est beaucoup moins élevée en France – et notamment à Paris – que dans les autres grandes capitales européennes.
Parlement et Assemblée nationale
Le Pacte de responsabilité aura peu d’effet sur le chômage
L’article de Nicolas Lecaussin à partir de l’Etude de l’IREF consacrée au Pacte de responsabilité a été repris (25 juin) par le site des Echos. Lire l’article.
Depuis de nombreuses années, les intermittents du spectacle refusent de réformer leur régime d’allocation chômage, qui leur donne un accès plus facile à une indemnisation lorsqu’ils ne travaillent pas. Cette situation est due au caractère instable de la profession. Pourtant, il semble que ce régime spécial soit de moins en moins justifié, du fait que les caisses sont en déficit constant.
Chers amis,
Olivier Dassault, Président, Jean-Michel Fourgous, délégué général, et les 130 parlementaires membres de”Génération entreprise – Entrepreneurs associés” (GEEA) sont heureux de vous inviter à un colloque sur le thème :
Jean-Philippe Delsol, Président de l’IREF, est intervenu aux Rencontres parlementaires sur la fiscalité (20 mai) à propos des réformes fiscales dans les autres pays européens. Voir le programme.
Jean-Philippe Delsol, Administrateur délégué de l’IREF, est l’invité (3 mai) de l’émission Le Débat sur la chaîne Public Sénat. Voir l’émission.
Une atmosphère drôle et surnaturelle à la fois se dégageait de cette excitation autour du remaniement après les élections municipales. Tout le monde attendait la chute inéluctable du Premier ministre et la nomination d’un autre. Mais, bizarrement, tout le monde semble s’accommoder de cette pratique bien française qui est à la fois un aveu d’impuissance, un transfert d’irresponsabilité et un abus de pouvoir. Le Président de la République se sert une nouvelle fois de son Premier ministre comme d’un « fusible ». Il s’en débarrasse alors que c’est bien sa politique qui a été contestée par les Français. Dans notre pays, qui est le seul, parmi les démocraties occidentales, à avoir un double exécutif, le Président se déclare irresponsable devant l’échec subi par son camp dans les urnes et se permet de passer outre la Constitution en virant en quelques minutes le Premier ministre et en en nommant un autre.
L’article de Nicolas Lecaussin publié par La Revue Parlementaire (avril) rappelle les réformes faites par la plupart des pays européens et le fait que la France préfère le statu-quo malgré…
Les syndicats à la française se sont toujours complus dans l’idéologie de la lutte des classes, ce qui n’est plus le cas pour les syndicats étrangers. Mais le discrédit qui frappe la classe politique ne va-t-il pas s’étendre au monde syndical, dont les finances et les rouages demeurent occultes ?
La mort de l’ancien leader syndical, Marc Blondel, peut être interprétée comme un signe : la fin du syndicalisme marxiste et dogmatique.
En France, nous avons 925 élus au Parlement (députés et sénateurs). De l’autre côté du Rhin, il n’y en a que 691 (Bundestag + Bundesrat). Une différence de 234 élus…