Chef d’entreprise, Axel Arnoux a expliqué à la tribune de l’Université d’Eté des nouveaux économistes comment son entreprise s’est partiellement délocalisée pour sauver les emplois en France. Car seul le marché mondial constitue un débouché suffisant et un produit met en jeu des éléments en provenance de pays différents. La mondialisation n’a pas détruit les emplois en France, elle les a sauvés ; la réglementation, elle, est mortelle.
marché du travail
Les statistiques sont formelles : la croissance se poursuit dans les pays qui ont renoncé à accroître les dépenses publiques. Jacob Arfwedson, chercheur de l’IREF, résume un rapport récent de Johnny Munkhammar, ancien membre du Parlement suédois et auteur de » The End of Stimulus Policy » (American Enterprise Institute).
Mitt Romney et Paul Ryan : ils diminueront les impôts (de 20 % au moins) et les dépenses fédérales, ils libèreront le marché du travail, introduiront la concurrence dans l’enseignement et la sécurité sociale. Dans les sondages ils talonnent Obama.
Entre 1976 et 2007, seulement trois grandes entreprises ont vu le jour en Europe, contre plus d’une vingtaine aux Etats Unis. Et sur ces trois entreprises, deux sont imprégnées de la culture anglo-saxonne puisqu’elles sont nées en Angleterre et en Irlande.
« Si vous voulez éviter la catastrophe économique et les défaites électorales, faites comme Tony Blair ! ». C’est le conseil donné dans une Lettre au Président rédigée par Nicolas Lecaussin. Une analyse saisissante des changements introduits en Angleterre par la gauche britannique.
L’expression à la mode laisse penser que la Bourse en général, et les cours en bourse d’une grande entreprise, sont à l’origine des « plans sociaux ». En fait, plusieurs exemples montrent qu’il y a corrélation négative entre cours de bourse et licenciements. L’ennemi de l’emploi n’est pas la Bourse, mais l’Etat.
La compétitivité dépend essentiellement du coût du travail. La compétitivité permet d’élargir ses parts de marché et d’éviter les licenciements ou délocalisations. Les entreprises françaises sont moins compétitives et le chômage est plus important qu’en Allemagne.
L’INSEE a fourni aux candidats des chiffres qui laissent penser que les salaires versés par les entreprises françaises sont moins élevés que ceux des concurrents étrangers. Mais l’INSEE ne tient aucun compte du « salaire complet » : celui-ci est très supérieur au salaire net versé : le double ! Analyse pertinente de Lucas Léger, chercheur à l’IREF.
L’économie américaine a enregistré une croissance de 2.2 % au premier trimestre 2012 au lieu de 3 % comme prévu. Mais l’économie américaine connaît un taux de croissance positifs depuis…
Les dernières statistiques du chômage confirment une embellie sur le marché de l’emploi américain. Environ 227 000 emplois ont été créés en février. Et ce qui est encore plus intéressant…