Des professeurs de droit et des avocats s’interrogent de manière pertinente sur le patrimoine et les revenus d’Emmanuel Macron. Ces questions ne sont pas anodines et restent pourtant sans réponse à ce jour.
Justice
L’association Citoyens de Franche-Comté écrit à nouveau au Parquet financier qui jusqu’alors n’a pas daigné répondre au sujet de la déclaration de patrimoine et d’intérêts signée le 24/10/14 par M. Emmanuel Macron. (voir fichier PDF en fin d’article)
Patrimoine d’Emmanuel Macron : L’IREF demande l’ouverture d’une enquête
Dans une Lettre adressée au Procureur de la République, l’IREF demande l’ouverture d’une enquête concernant la déclaration de patrimoine de Monsieur Emmanuel Macron.
Suite à notre article sur les déclarations de patrimoine de M. Emmanuel Macron, nous avons reçu de très nombreux témoignages et observations.
Il y a une omission grave dans la déclaration de Monsieur Macron, tant d’ailleurs dans celle du 24 octobre 2014 que dans celle déposée le 16 mars 2017 ès qualités de candidat à l’élection présidentielle. Pour l’IREF, c’est une omission de plus des trois quarts du patrimoine. Il serait temps que la justice s’en occupe avec la même célérité que pour d’autres candidats.
L’article de Jean-Philippe Delsol est publié par le quotidien l’Opinion dans son édition du 26 octobre.
Si vous voulez être membre du Conseil Constitutionnel, faites de la politique et entrez dans la fonction publique !
En France, on aime faire beaucoup de lois sur tout et n’importe quoi. Pire, de nombreuses lois sont mal faites et ont des conséquences très fâcheuses. Notre proposition en faveur d’une réforme simple et pratique.
Un ami de l’IREF nous fait parvenir une décision récente (25 janvier 2016) de la Cour de cassation qui interpelle par sa dérive idéologique. Un conflit a opposé une entreprise privée au syndicat national autonome de la propriété manutentions (SNAPMRASA) de la RATP.
Avant de penser à exclure quelques individus à la double nationalité, il faudrait faire le nécessaire pour inclure ceux qui deviennent français, d’abord exiger de ceux qui veulent acquérir notre nationalité autrement qu’en la recevant de leurs parents qu’ils s’engagent par un acte express et solennel à respecter nos lois, nos règles et nos usages, notre langue et notre culture, au risque de perdre ce qu’ils auraient acquis.