Programmer un déficit égal à quelque 9 % du PIB est déjà en soi d’une certaine audace. Mais l’audace devient de l’inconscience quand le niveau de la dette publique dépasse largement 80% du PIB. Analyse du Pr. Jacques Garello, administrateur de l’IREF et président de l’ALEPS.
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Arnaud de Puyfontaine, chargé du pôle industriel des Etats généraux de la presse vient de remettre son Rapport à l’Elysée et au ministère de la Culture. Ce Rapport omet une chose essentielle : le monopole inacceptable depuis 1947 des NMPP (Nouvelles Messageries de la presse parisienne), véritable Etat dans l’Etat pourvu des plus incroyables privilèges.
Sur 45 millions de non-assurés, 9.7 millions ne sont pas citoyens américains, 17.6 millions ont des revenus supérieurs à 50.000 dollars par an et 14 millions sont inscrits dans des programmes comme Medicaid ou autres système de couverture locaux. Il reste environ 5 millions d’Américains sans couverture santé, moins que les 6 millions de Français couverts par la CMU.
La France annonce des sanctions à l’égard de 3000 initiateurs de transferts supposés irréguliers à l’étranger figurant sur une liste fantôme dont l’origine et le contenu sont celés. Le ministre Eric Woerth espère ainsi inciter, à défaut de pouvoir contraindre, les détenteurs d’actifs étrangers non déclarés à se rendre à Bercy, comme les bourgeois de Calais, la corde au cou et les clés de leur coffre sur un coussin, pur régulariser leur situation.
L’Europe a « verdi » un peu plus au dernier scrutin européen et le gouvernement français s’est précipité pour satisfaire à cette poussée électorale en évoquant la taxe climat qu’il avait déjà mis en orbite.
Qu’y a-t-il de commun entre l’Observatoire national des termites et le Comité de l’environnement polaire ? L’argent des contribuables au service de leur inutilité.
A l’heure où les protestations et les grèves contre la loi Bachelot sur les hôpitaux vont bon train, il est utile de rappeler quelques vérités : l’hôpital français ne manque pas de personnel mais d’une gestion efficace.
La mondialisation financière n’est pas responsable de la crise. La seule chose dont nous avons besoin en ce moment est un contrôle strict de la création monétaire publique. Analyse de Victoria Curzon-Price publié dans le journal Le Temps.
Le haut-commissaire aux Solidarités actives, Martin Hirsch, veut dépenser 1.5 Mds d’euros pour inciter les entreprises à embaucher des jeunes. Même si le passé montre que l’argent est gaspillé.
Le gouvernement découvre que les collectivités locales ont souscrit à des emprunts à risques auprès des banques. L’IREF avait tiré le signal d’alarme dans un article publié au mois de mars.