Le gouvernement britannique s’impose la rigueur, mais en même temps allège les charges fiscales sur les entreprises. D’après Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF, c’est un retour salutaire à « l’économie de l’offre » de Reagan et Thatcher .
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Dans une noté conjoncturelle, Patrick Artus, chef économiste à la banque Natixis, écrit que « l’Allemagne devrait accepter le fédéralisme dans la zone euro pour son propre intérêt. » Autrement dit, les Allemands devraient aider les autres pays à sortir du marasme financier et à booster leur consommation. D’une part, il n’y a aucune volonté dans le pays d’aider les autres pays qui n’ont pas les réformes nécessaires pour s’en sortit.
Tout n’est donc pas perdu, mais tout peut être gagné avec courage et persévérance. C’est la conclusion à laquelle parvient Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF, quand il observe les politiques courageuses qui sont menées aujourd’hui dans le monde. Et en France ?
Qui remplacera Philippe Seguin à la présidence de la Cour des Comptes ? Pourquoi pas quelqu’un issu du privé ? Les Anglais ont une Cour des Comptes (National Audit Office) dont le président et les membres sont presque tous issus du privé, et les finances publiques sont ainsi sous bonne garde. Nicolas Lecaussin nous décrit le système anglais.
Des déficits français aux initiatives du G20 ou du FMI, l’actualité démontre le piteux état des finances publiques, ce qui n’empêche pas les dirigeants de multiplier les innovations coûteuses et hasardeuses. Observations de Maître Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF.
Voici un résumé de ce que vous pouvez trouver dans le rapport “Taxation in Europe 2008”: Nous commençons par un rapport de Jan Schnellenbach sur la fiscalité en Allemagne, qui…