Dans notre Etat-providence, le contribuable finance les études des enfants des autres, mais pour Jean-Luc-Mélenchon, la gabegie d’argent public doit aller plus loin. Il propose 1 000€ par mois à…
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Etudiants étrangers en France : un racket du contribuable organisé par l’Etat
Les études supérieures sont aujourd’hui une occasion rêvée de partir à l’étranger, d’approfondir une langue, de découvrir de nouvelles cultures et d’avoir accès à des cours qui ne sont pas dispensés dans son pays. La France s’applique à attirer toujours plus d’étudiants étrangers pour accroître son influence à l’international. Le calcul est-il si bon ?
En 2019-2020, la France comptait 14% d’étudiants étrangers. Une part qui croît rapidement, puisqu’ils représentent 38% de l’augmentation des effectifs sur dix ans. Ils viennent principalement de la Chine, du Moyen-Orient et de l’ensemble de l’Afrique. Pour les attirer, le gouvernement dépense plusieurs millions d’euros en labels d’accueil accordés à certains établissements et bourses d’études. Pourtant, il est permis de douter de l’efficacité de ces mesures coûteuses.
L’enseignement supérieur privé est très dynamique. Pourtant, il est beaucoup plus onéreux pour les étudiants que l’enseignement public dont les frais de scolarité sont limités à quelques centaines d’euros par an. Tous gagneraient à favoriser le développement du secteur privé.
Je suis professeur à l’Université de Chicago. J’ai récemment été invité à donner une conférence honorifique au Massachusetts Institute of Technology. La conférence a été annulée parce que j’ai ouvertement défendu des opinions morales et philosophiques impopulaires sur les campus universitaires.
Les études universitaires ne sont pas un dû. Elles se méritent. L’IREF ne cesse de le répéter. Grâce à un chiffre révélateur, la Cour des comptes vient de nous donner…
Les entreprises attendent des étudiants plus professionnels
A la demande de la Conférence des présidents d’université, 500 chefs d’entreprise ont donné leur vision de l’université. Si 85% d’entre eux en ont une bonne image, ils considèrent majoritairement…
D’après un sondage, les jeunes sont de plus en plus nombreux à plébisciter le libéralisme
Dans le livre « La Fracture », Frédéric Dabi, directeur général de l’IFOP, dévoile les résultats d’une grande enquête sur la jeunesse et ses opinions en matière d’écologie, de laïcité,…
A Berlin, 96% des plats des restos U sans viande ni poisson : de quoi aggraver la précarité étudiante
Les restaurants universitaires de Berlin se mettent au vert : dès octobre, à la rentrée universitaire allemande, 68% des repas proposés dans les restaurants universitaires seront vegans, 28% seront végétariens,…
Un homme politique peut-il décider froidement que tous les jeunes Français iront désormais à l’école primaire jusqu’à l’âge de 17 ans ? Qu’il n’y aura donc plus en France de véritable enseignement secondaire ? Avec comme conséquence que les études supérieures et la recherche scientifique seront grevées d’un handicap irréparable ? Peut-il prendre seul, sans débat public, une décision aussi absurde, aussi manifestement contraire à l’intérêt général ? Tout citoyen sensé répondra par la négative. Et pourtant, c’est ce que vient de faire M. Jean-Michel Blanquer en mettant en œuvre une catastrophique réforme du concours donnant accès à l’enseignement des collèges et lycées, le CAPES (« Certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré »).
«La dépendance aux aides sociales n’aide pas à se construire en tant qu’adulte responsable»
Dans la perspective de l’élection présidentielle et de propositions d’aides séduisantes faites aux jeunes, Adélaïde Motte, ancienne étudiante précaire, estime dans une lettre ouverte aux politiques que la précarité étudiante apprend la responsabilité et la liberté.