La position de l’IREF sur la réforme de la SNCF est citée (18/04) par le célèbre quotidien suisse Neue Zûrcher Zeitung. Lire.
Etat providence
Dans deux essais célèbres, l’Absolutisme inefficace et La tentation totalitaire, Jean-François Revel s’étonne du penchant des hommes en général, des intellectuels et des politiques en particulier, à préférer l’autoritarisme aux libertés, la dictature « douce » à démocratie libérale. En effet, en France, à gauche ou à droite, on n’hésite pas à faire des clins d’œil à d’autres formes d’organisation politique et économique en prétextant l’échec du système libéral malgré l’échec et la faillite des économies dirigées et des régimes dictatoriaux au XXe siècle.
Des propositions de réglementation et de taxation des Gafa sont avancées par la gauche, la droite mais aussi par ceux qui se considèrent comme centristes ou « libéraux ». Il y a, d’un côté, les étatistes de tous bords qui s’en prennent par principe à ces multinationales et, de l’autre, les refoulés qui veulent s’affirmer et attirer les lumières. Attaquer ces « géants » est à la mode et l’impact dans l’opinion, garanti Vous voulez attaquez ces « géants » ? Allez-y, c’est à la mode, votre impact dans l’opinion est garanti. Vous ferez à coup sûr parler de vous et vous vous ferez bien voir, même de vos adversaires d’hier s’ils sont eux aussi contre les Gafa !
L’article de Nicolas Lecaussin sur les bénévoles est publié (3 avril) dans le quotidien l’Opinion . Lire.
C’est la question que se pose le plus grand quotidien suisse – Neue Zürcher Zeitung – dans un article (22 mars) qui cite aussi les travaux de l’IREF. Lire.
Virginie Calmels, la vice-présidente des Républicains, n’a jamais caché ses idées libérales. Plusieurs fois, elle a fait appel à nos spécialistes pour faire des propositions économiques et fiscales. Pour les…
Nos lecteurs savent quelle attention nous portons aux questions d’intégrité et d’indépendance dans l’ensemble du secteur public. Or « Les intouchables d’État » de Vincent Jauvert (Robert Laffont, éditeur) est un livre décapant à mettre d’autorité entre toutes les mains, celles des contribuables et citoyens et tout particulièrement ceux qui en sont restés innocemment à la nuit du 4 août pour la jolie fable de l’abolition définitive de tous les privilèges. Ceux qui ne savent pas encore y apprendront beaucoup, ceux qui se doutent de quelque chose verront leurs appréhensions très largement confirmées et même étendues, ceux qui croyaient déjà savoir seront étonnés du peu qu’ils savaient par rapport à la réalité. En effet rarement tant de rouerie, tant d’âpreté au gain, tant de carriérisme, tant de conflits et de confusions d’intérêts, tant de mépris de l’intérêt général auront été mis au jour en si peu de pages. Pour des raisons évidentes, nous ne nous livrerons pas à la défoliation de cet ouvrage qui mérite incontestablement d’être lu, mais nous en profiterons pourtant pour livrer à nos lecteurs quelques réflexions qu’il nous inspire, en dégageant plusieurs lignes directrices pour cerner tous les inconvénients que cette pratique de caste représente pour le pays.
Le séminaire organisé par l’IREF à Vienne le 8 mars dernier en collaboration avec le Centre d’Economie autrichienne a donné la possibilité à plusieurs universitaires de présenter leurs recherches autour de sujets variés.
Long article dans le journal espagnol Globedia (8 mars) sur notre livre Anti-Piketty. Lire.
• Troisième exportateur mondial il y a encore 15 ans, la France est passée en sixième position, derrière les Pays-Bas et l’Allemagne. Cette chute de compétitivité s’accompagne d’une baisse drastique des revenus de très nombreux agriculteurs : un tiers d’entre eux a gagné moins de 350 € par mois en 2015.
• Une véritable technostructure administrative est pourtant au chevet de l’agriculture avec près de 1 fonctionnaire pour 20 exploitations. Le contribuable finance le secteur à hauteur de 33 milliards d’euros, soit environ 100 € par ménage et par mois. Il serait plus rentable pour de nombreux exploitants de toucher directement leur subvention sans travailler plutôt que de continuer leur activité.
• En plus d’une gestion particulièrement dispendieuse, les organismes publics et parapublics tels que les SAFER, les chambres d’agriculture ou les interprofessions constituent de véritables corporations au service d’intérêts politiques ou syndicaux et au détriment de la concurrence, de l’innovation et de la liberté d’entreprendre des producteurs minoritaires.
• Face aux dérives politiques et corporatistes de la technostructure administrative limitant la compétitivité des agriculteurs français, l’IREF propose de privatiser et mettre en concurrence la plupart des organismes la composant, d’abandonner progressivement les subventions et de limiter la réglementation pour permettre aux agriculteurs français de répondre aux enjeux de notre époque de manière durable et autonome.