Il n’est pas question de « désespérer Billancourt », de broder sur l’air du « c’était mieux avant » ou encore de joindre notre voix à celles des déclinistes en parlant, après les « Trente…
Il n’est pas question de « désespérer Billancourt », de broder sur l’air du « c’était mieux avant » ou encore de joindre notre voix à celles des déclinistes en parlant, après les « Trente…