François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, a annoncé en début de semaine sur RTL que le taux de croissance pour l’année écoulée s’élevait à 6,7%.…
État et administrations
Le coût du bouclier protégeant les ménages de la hausse du prix de l’énergie s’envole
L’Assemblée nationale a achevé vendredi l’examen en nouvelle lecture du projet de loi de finances (PLF) pour 2022. Le texte est revenu au Sénat lundi avant un ultime vote à…
Nicolas Lecaussin était l’invité de Franck Abed. Au sujet de cet entretien : – Frexit – Euro/Franc – Protection Sociale – Cryptomonnaies – Protectionnisme Voir l’interview
La France s’apprête à prendre pour six mois, à partir de janvier 2022, la présidence du Conseil de l’Union européenne. Un intitulé pompeux pour un rôle qui demeure plus symbolique…
Le référendum pour l’indépendance de la Nouvelle Calédonie a eu lieu le 12 décembre. Il s’agit du troisième référendum décidé après les accords de Nouméa de 1998.
La Nouvelle-Calédonie est devenue une colonie française le 24 septembre 1853. Dès le XIXème siècle, la population locale, les Kanaks, a vu l’arrivée massive de Français venus s’installer sur la Grande Terre et les îles alentours. Comme bien souvent dans son histoire, la colonisation française a permis le développement du territoire : « Les nouvelles populations sur le territoire ont participé, dans des conditions souvent difficiles, en apportant des connaissances scientifiques et techniques, à la mise en valeur minière ou agricole et, avec l’aide de l’Etat, à l’aménagement de la Nouvelle-Calédonie. Leur détermination et leur inventivité ont permis une mise en valeur et jeté les bases du développement [[Accord sur la Nouvelle-Calédonie signé à Nouméa le 5 mai 1998 – Légifrance (legifrance.gouv.fr)]] ».
La plateforme Wish bannie d’internet en France : un abus de pouvoir ?
Wish, site internet d’e-commerce qui propose des produits à des prix défiant toute concurrence, connaît un succès planétaire. Son business model est depuis quelques mois dans le viseur de Bercy,…
Dans une étude récente sur la situation économique de la France, l’OCDE s’inquiète de la dérive de nos finances publiques et invite le gouvernement à engager d’urgence des réformes structurelles.
Le couperet de l’OCDE vient de tomber et il est sans appel. La situation économique française est mauvaise et nos comptes publics sont dans le rouge. L’OCDE s’inquiète de l’augmentation « marquée » de la dette publique pendant la crise COVID et nous enjoint de « développer une stratégie de stabilisation et de réduction progressive de la dette publique […] pour la ramener sur une trajectoire soutenable, étant donné l’augmentation attendue des dépenses liées au vieillissement démographique ». C’est une préoccupation majeure, à laquelle l’IREF a d’ailleurs maintes fois fait allusion dans ses articles.
Dette sociale : 39 Mds€ empruntés 2021, 40 Mds€ prévus pour 2022
La Caisse d’amortissement de la dette sociale (Cades) est un organisme créé en 1996 et chargé de contourner l’impossibilité de s’endetter qu’ont les administrations de sécurité sociale. Elle a dressé,…
Un sondage de l’IFOP paru le 8 décembre dévoile l’état des lieux de la démocratie à la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron. Et sans surprise, le bilan n’est pas joyeux…
Rappelons que la retraite de base pour 2022 ne va être revalorisée que de de 1,1% pour répondre à une inflation dont la prévision vient d’être rehaussée à 2,8% pour 2021 et que ce n’est pas la première fois qu’avec les meilleures intentions du monde, une telle décote monétaire est appliquée aux pensions. Dans ces conditions, puisqu’on ne sait pas, ou plutôt qu’on ne veut pas, actualiser correctement les pensions (qu’on parvient pourtant à verser à des gens qui n’ont jamais cotisé à nos caisses), du moins convient-il de mettre à jour la définition de la répartition à la française en la débarrassant des oripeaux idéologiques, syndicaux et politiques qui l’affublent.