A fond à gauche ! 100 jours après avoir accédé à la Maison Blanche, Joe Biden a eu le temps d’annoncer la plus forte augmentation d’impôts et de taxes depuis 1968, plus de 4 000 milliards de dollars de dépenses publiques pour « relancer l’économie » et « refaire les infrastructures » et un programme politique « progressiste » et racialiste qui étonne même les démocrates les plus gauchistes. Nous avons déjà eu l’occasion d’analyser en détail toutes ces dépenses dont l’utilité est plus que douteuse et qui plomberont lourdement les finances du pays comme les poches des contribuables. Mais Biden ne s’arrête pas là. Il veut « reprendre le combat contre le réchauffement climatique abandonné par Trump » et, pour cela, il a annoncé un plan sur 10 ans qui ressemble aux plans lancés par les économies dirigées. Son objectif est de réduire de 50 %, d’ici à 2030, les émissions de CO2 par rapport au niveau de 2005. Un objectif démagogique qui s’appuie sur des promesses illusoires et dangereuses.
Environnement
A l’issue d’une séance le 24 février 2021, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a publié son avis sur les enjeux et les déclinaisons du «financement des investissements nécessaires pour l’avenir ». Le texte voté par le CESE explique la nécessité d’un « Etat stratège et planificateur ». A la lecture du rapport, sa volonté est évidente : dépenser l’argent du contribuable à flot dans des projets que l’Etat aura définis comme des investissements d’avenir.
Or, personne ne peut prévoir avec certitude d’où viendra l’innovation, l’Etat moins que tout autre. Ses investissements se sont souvent révélés comme des gaspillages dantesques d’argent public et des échecs commerciaux autant que financiers.
Les ventes de produits issus de l’agriculture biologique se tassent. En effet, la part de marché du bio se stabilise à 6 % depuis 2019. Pourtant, le nombre d’exploitations «…
Le délit d’écocide dans la loi Climat : entre affaiblissement du droit et régression juridique
Le grand juriste des Lumières Cesare Beccaria se retournerait dans sa tombe en voyant l’état de notre droit ! La majorité LREM a adopté, samedi dernier, le délit d’écocide au cours de la discussion à l’Assemblée nationale sur la loi Climat. L’écocide devient un délit alors que la Convention voulait en faire un crime. C’est un fait, l’écologisme envahit nos lois et notre droit.
L’Assemblée nationale a adopté en première lecture l’article 52 de la loi Climat. Celui-ci dispose que “L’autorisation d’exploitation commerciale ne peut être délivrée pour une implantation ou une extension qui…
L’association Action Écologie, fondée en 2020, souhaite promouvoir une écologie responsable en combattant le monopole médiatique des « pseudo-écologistes » et en militant pour une réelle écologie responsable et soucieuse des paysages, des traditions, des libertés. Elle entend s’opposer farouchement aux thèses de l’écologisme et faire pression pour que les décideurs appliquent des propositions de bon sens. Elle exige notamment des bilans d’efficacité sur chaque mesure prise au nom de l’écologie par les responsables politiques en place, ce qui semble relever d’une transparence saine en démocratie.
Le mouvement vient de publier une étude sur le gouffre financier et le désastre écologique provoqué par les éoliennes. Par plusieurs points, elle démontre, chiffres à l’appui, que non seulement l’énergie éolienne n’est pas souhaitable pour la France, mais qu’elle est néfaste pour l’écologie et l’économie.
Alors que se multiplient les initiatives gouvernementales, pénalisant souvent les entreprises et les consommateurs, pour favoriser la décarbonisation de nos économies, une autre approche est possible. C’est ce que souligne…
Les écologistes veulent plus d’énergie moins carbonée : la France est à la pointe depuis 50 ans !
Grâce au Green Future Index, nous savons que la France est le 4ème pays le plus « décarboné » du monde en 2021. Cocorico ! Si l’on considère le haut…
L’énergie fait partie de ces nombreux sujets pour lesquels les décisions de l’Union Européenne et de son institution phare, la Commission européenne, prennent le pas sur celles des États membres. Pourtant les arbitrages européens, en dépit de leurs conséquences, sont souvent bien moins médiatisés. C’est notamment le cas du projet de taxonomie verte qui vise à « déterminer et classifier les activités économiques qui peuvent être considérées comme durables sur le plan environnemental ».
Ce mercredi 7 avril, sur le plateau de Jean-Jacques Bourdin, la ministre de la transition écologique Barbara Pompili affirme que l’on peut se passer du nucléaire. Elle dit se baser…