Les primaires (ou les caucus) américaines commencent dans l’Iowa avec un premier vote qui sera suivi par un marathon électoral jusqu’au mois de juin. Sept candidats se disputent l’investiture républicaine…
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« Dernière chance pour sauver l’Europe », « Accord historique à l’Elysée » : serait-ce la grande idylle dans le couple franco-allemand ? Certains grands médias l’ont laissé croire. En fait, Angela Merkel n’a pas accepté les requêtes françaises et on reste sur une promesse de révision des traités naguère destinés… à sauver l’Europe. Nicolas Lecaussin, directeur du développement à l’IREF, détaille les divergences.
La victoire de Mariano Rajoy en Espagne n’est que la plus récente illustration d’une alternance politique en Europe. Les électeurs ont choisi de nouveaux dirigeants qui promettent moins d’Etat et réduisent les dépenses publiques. La France va-t-elle suivre le mouvement ? Voyage de Nicolas Lecaussin dans la Nouvelle Europe.
Herman Cain, vous connaissez ? Dans les sondages, ce candidat est crédité de 17 % des suffrages pour les prochaines primaires (du Parti Républicain aux USA). Ses mesures fiscales sont aussi populaires qu’explosives : en particulier une flat tax à 9%. Les autres candidats devront en tenir compte. Nicolas Lecaussin, directeur du développement de l’IREF, donne tous les détails.
L’UNPI (Union Nationale de la Propriété Immobilière) vient de lancer une grande campagne dans les médias pour défendre le droit de propriété et protester contre l’envolée de la pression fiscale. L’IREF soutient cette initiative et reproduit plus loin le communiqué de l’UNPI.
Après avoir demandé la suppression de l’ISF, le président Sarkozy a permis que l’Assemblée se contente de le bricoler tout en supprimant l’ultime protection du bouclier qu’il avait institué. Il a favorisé la remise en cause des encouragements aux donations qu’il avait fait voter. Il a créé une nouvelle « exit tax » qui en fait incitera les entrepreneurs à partir plus vite. La Commission européenne suggère la mise en place d’une taxe européenne sur les transactions financières qui pénalisera les places européennes au profit des pays émergents. Mais si la fiscalité est le terrain d’excellence de cette versatilité maladive, elle n’est que le reflet de la maladie sénile de l’étatisme en mal d’existence. Mise au point de Jean-Philippe Delsol.
Les élections locales et régionales espagnoles ont montré que les électeurs souhaitaient un basculement à droite du paysage politique. C’est le Parti populaire qui a devancé le Parti socialiste avec plus de 10 points. Contrairement à ce que peuvent nous faire croire les médias, l’Espagne est plus guettée par une (nouvelle) révolution libérale que par une révolte gauchisante. Les années Aznar avaient apporté au pays prospérité et forte baisse du chômage.
L’archaïsme du programme présenté par le PS tranche avec l’évolution des autres partis socialistes européens. C’est ce qui ressort de l’analyse des « 30 propositions » par Nicolas Lecaussin, directeur du développement de l’IREF.
Et, à l’inverse, les leaders qui ont su réformer ont toujours été triomphalement réélus plusieurs fois. Nicolas Lecaussin en donne une liste impressionnante. Voilà pourquoi la majorité présidentielle a été battue : des réformettes sans conviction, sans vision.
Ils délaissent la Californie pour aller au Texas. C’est ce que fait apparaître le récent recensement de la population américaine, qui a augmenté globalement de près de 10% depuis 2.000, mais se redistribue géographiquement en fonction de la fiscalité. Analyse de Nicolas LECAUSSIN, directeur du développement de l’IREF.