Vins, fromages, céréales … Les piliers de la gastronomie française n’arrivent plus à conquérir le monde. Une situation alarmante, mais pas condamnée, à condition de libérer l’agriculture du joug administratif.
Écologie
La folie écologique n’a pas de limites. Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Brune Poirson estime qu’il faudrait mobiliser 55 à 85 milliards d’euros par an en France pour lutter contre le réchauffement climatique, soit environ le produit de l’impôt sur le revenu (plus de 70Md€ en 2018). « Or, en 2018, constate-t-elle dans Le Monde du 20 février, on en a investi 41 milliards, venant des particuliers, des entreprises, des collectivités, de l’Etat ». Une semaine auparavant, dans une tribune publiée dans Le Figaro du 13 février, 86 députés entrainés par un ex-LREM ont réclamé le retour d’une « fiscalité carbone juste socialement ».
Normalement, l’écologie est une science qui étudie les êtres vivants dans leur milieu en tenant compte de leurs interactions. Elle fait partie intégrante de la discipline plus vaste qu’est la science de l’environnement (ou science environnementale). L’écologie est devenue aujourd’hui une arme idéologique aux mains des politiques et de nombreux « acteurs » qui profitent de l’argent public. Elle fonctionne comme une idéologie totalitaire en voulant imposer à tous, au nom de grands idéaux, une certaine façon de vivre et de se comporter.
En septembre 2016, nous avions remarqué qu’il y avait, aux yeux du gouvernement d’alors, de mauvaises fermetures d’usines et des bonnes. C’était à l’occasion de la fermeture de l’usine Alstom de Belfort et de la centrale nucléaire de Fessenheim. Le gouvernement a changé depuis lors, mais l’histoire se répète.
En septembre 2012, un biologiste français qui confondait sciences et idéologie avait défrayé la chronique en publiant dans la revue Food and Chemical Toxicology, une étude censée démontrer la nocivité pour les rats de la consommation de maïs transgénique pourvu de résistance au glyphosate ( dont le Roundup). Des photos de rongeurs déformés par les tumeurs accompagnaient l’étude pour ébranler les sensibilités.
Glyphosate : un coupable idéal pour la malhonnêteté journalistique d’Élise Lucet
Un cas d’école d’obscurantisme journalistique. C’est ce que l’on pourra retenir de l’émission Envoyé Spécial de jeudi soir sur le glyphosate. Durant les deux heures du reportage, Élise Lucet aura…
L’Allemagne a toujours affirmé vouloir réduire au plus vite les émissions de CO2 grâce aux énergies renouvelables. Elle a donc pratiqué une politique de subventions et d’investissement massifs. Entre 2013…
Le Comité économique, social et environnemental (CESE) porte ce nom depuis maintenant dix ans. C’est, en effet, en 2008 que le CES est devenu CESE. Pour justifier de son appellation, le CESE produit des rapports à la chaîne. Un des derniers en date s’intitule « TPE-PME, comment réussir le passage à la neutralité carbone ? » (septembre 2018).
Sur 100 euros de taxes écologiques seulement 5 dépensés pour l’écologie !
Ce vendredi 23 novembre tôt le matin, il était permis aux insomniaques d’écouter sur France-Info la rediffusion de son émission-phare “Les Informés”, censée permettre à la masse de ceux qui ne le sont pas d’accéder, après les inévitables “décryptages”, au faîte de la vérité politique et journalistique. À quelques intervenants près visiblement égarés dans cette galère, on trouve dans cette émission quotidienne sous la houlette d’un journaliste-maison chevronné l’expression satisfaite et collective d’une bien-pensance épanouie, qui rappelle instamment l’étiquette circulaire bien connue de “La voix de son maître” parant le centre de nos vieux disques vinyles. Naturellement ces propos convenus et pleins de suffisance, exaspèrent tous ceux qui, sans être nécessairement à la pointe de l’information, n’en conservent pas moins suffisamment de bon sens et de réflexion critique pour ne pas prendre systématiquement pour des lanternes toutes les vessies qu’on leur baille.
La fronde des gilets jaunes a mis le prix des carburants sur le devant de la scène. Les médias se sont emparés du sujet avec délectation. La plupart nous ont expliqué que les prix des carburants étaient composés à 60 % de taxes.