À quinze mois de l’élection présidentielle, les premiers sondages commencent à être publiés. Si l’échéance présidentielle est encore loin, et que chaque campagne possède son lot de surprises, le sondage…
Démocratie
Chez Les Républicains, la fronde antisocialiste s’organise
Au sein de la droite, plusieurs cadres et élus s’opposent au virage socialiste que prend le parti. En effet, Éric Woerth, Jean-Louis Thiériot, Nicolas Forissier, ou encore Christelle Morançais critiquent…
Une équipe de l’OMS en Chine, sous le contrôle du Parti
Une délégation de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) est arrivée en Chine pour enquêter sur les origines du coronavirus. Peut-on s’attendre à une enquête indépendante et fructueuse ? Quand,…
Loi Séparatisme et Charte de l’islam de France : l’islam peut-il vivre à l’écart de la politique ?
Le projet de loi contre les séparatismes en cours d’examen depuis ce 18 janvier à l’Assemblée nationale a un objectif ambitieux et bienvenu. Son préambule observe à juste titre qu’« Un entrisme communautariste, insidieux mais puissant, gangrène lentement les fondements de notre société dans certains territoires. Cet entrisme est pour l’essentiel d’inspiration islamiste. Il est la manifestation d’un projet politique conscient, théorisé, politico religieux, dont l’ambition est de faire prévaloir des normes religieuses sur la loi commune que nous nous sommes librement donnée. Il enclenche une dynamique séparatiste qui vise à la division ». Fort de ce constat, il se propose de renforcer l’arsenal juridique nécessaire pour agir à l’encontre de ceux qui veulent déstabiliser notre pays par un travail de sape qui « concerne de multiples sphères : les quartiers, les services publics et notamment l’école, le tissu associatif, les structures d’exercice du culte. Il s’invite dans le débat public en détournant le sens des mots, des choses, des valeurs et de la mesure ». Le propos est courageux.
Marine Le Pen devrait rembourser après avoir licencié
Quatre licenciements et deux départs en retraite anticipée : au total, ce sont 6 salariés du Rassemblement National qui seront mis à la porte dans les prochains jours. Abreuvé de…
A peine président, Biden le « progressiste » gomme les différences entre les sexes
Il avait fait comprendre que son but serait la « réconciliation nationale ». Mais, dans son discours d’investiture, Biden soutient que les Américains devraient être unis autour de l’idée «…
Alexei Navalny ou le courage du dissident russe
L’un des pires cauchemars des autocrates est la célébrité de ceux qui les contestent. Comme le dissident Alexei Navalny a pris le risque de retourner en Russie, Poutine a tout…
Les dirigeants des démocraties occidentales ont renoncé à promouvoir le bien commun et préfèrent courir après les électeurs en se contentant d’afficher du bout des lèvres des objectifs utopiques. Par conséquent, les électeurs se sentent de plus en plus exclus et méfiants, et se tournent vers les théories du complot. Pour regagner la confiance des citoyens, les élites devront abandonner les principes rigides du politiquement correct et permettre un débat public équitable et ouvert sur les problèmes auxquels nos sociétés sont actuellement confrontées.
Il ne fait pas bon écrire et penser librement de nos jours. Folâtrer hors de la matrice idéologiquement correcte peut valoir à n’importe quel étourdi une mise au ban rapide et permanente. Enseignants, intellectuels, étudiants ou personnalités politiques, tous gens sérieux et responsables, se liguent avec l’Etat, les universités ou certaines entreprises privées pour nous imposer une pensée unique, « propre et progressiste ».
En France, nous sommes très bien lotis avec notre Etat, hyper-protecteur, hyper-compétent, qui veille sur nous nuit et jour, s’immisce partout où il le peut pour nous distiller ses conseils au point de nous rendre accros aux principes de précautions. L’IREF ne cesse de le dénoncer. La pandémie a été une belle occasion d’accroître encore son contrôle sur nos vies.
Le Conseil d’Etat valide la surveillance généralisée : souriez, vous êtes fichés
Par trois décrets publiés le 4 décembre 2020, le gouvernement élargit le recueil de données privées par les fichiers de surveillance de l’Etat. Interpellé par des associations sur cette grave atteinte à la vie privée, le Conseil d’Etat a validé ces décrets, autorisant ainsi la surveillance de masse des Français.