LVMH, le groupe de Bernard Arnault, vient d’annoncer la création d’un fonds d’urgence et de solidarité pour ses salariés. Avec une enveloppe initiale s’élevant à 30 millions d’euros, ce programme…
aides sociales
Entre logement social et aide personnelle au logement, il faudra choisir !
Dans son rapport annuel de l’année dernière, avant la crise sanitaire donc, la Cour des comptes, soulignait que les modes de distribution des différentes aides au logement n’avaient pas changé depuis 2013, date de la publication de son rapport sur la question qui avait à l’époque retenu toute notre attention. Depuis, les différents ajustements adoptés ne règlent aucun des problèmes de fond soulevés par un système de distribution des deniers publics que notre pays ne peut plus soutenir.
Le député Laurent Saint-Martin est le candidat de la majorité présidentielle à la présidence de la région Ile-de-France. Les électeurs parisiens viennent de recevoir le programme « Envie d’Ile-de-France » du candidat. De l’entretien insipide du « Francilien d’adoption » en liminaire, on retenait pourtant avec espoir la phrase suivante : « J’apporterais [le conditionnel est utilisé] ma compétence de rapporteur du budget de la France et ma rigueur budgétaire au service de la région ». Pourtant de rigueur budgétaire il n’y en a point au terme de la trentaine de pages qui suivent et des 154 actions prévues. Bien au contraire, toutes les lubies actuelles s’y retrouvent autour de l’écologisme, du féminisme et du jeunisme sirupeux.
Les élus de gauche veulent aider les plus pauvres en les taxant
Des sénateurs viennent de déposer une proposition de loi d’urgence visant à apporter une réponse solidaire et juste face à la crise. En gros, il s’agit de continuer à distribuer…
L’Amérique est le pays de l’initiative et de la réussite individuelle. C’est le pays de tous les possibles, celui dans lequel on a le plus de chances de s’enrichir grâce…
Plutôt que d’assister la jeunesse, il faut la responsabiliser et la libérer
A l’approche des élections régionales et présidentielles, de nombreuses propositions sont formulées par des candidats et des think-tanks afin de venir en aide à une jeunesse durement touchée par les restrictions liées à la pandémie de COVID-19. Toutes ne sont que des distributions d’aides publiques ou des « cadeaux gratuits ». On attendrait plutôt qu’un responsable politique adresse deux mots d’ordre à la jeunesse : liberté et responsabilité. C’est ce que propose l’IREF.
La France a préféré accorder des aides qu’investir dans les vaccins
Le gouvernement français se vante de son « Quoi qu’il en coute ». Des milliards qui sont déversés en aides, en subventions, en chèque « psy ». Des aides en…
Un décret précisant les nouvelles règles de l’assurance-chômage est paru il y a quelques jours. Certes, la crise pandémique a bousculé le calendrier, mais le sujet est sur la table depuis novembre 2019. Ces règles changent-elles de façon si importante qu’il ait fallu presque 18 mois pour les mettre au point ? Et vont-elles permettre d’économiser 3 à 4 milliards d’euros comme le souhaitait à l’origine le gouvernement ? Pour le savoir, penchons-nous sur le dernier rapport d’évaluation de l’Unedic. Mais avant cela, revenons au point de départ de novembre 2019.
Les aides et subventions versées par le gouvernement aux uns et aux autres se multiplient en ordre dispersé. Beaucoup sont légitimes pour compenser les préjudices causés par les décisions gouvernementales. Mais certains en profitent de manière indue, par exemple des professionnels de la restauration déjà au bord de la faillite avant la Covid. Ils bénéficient du fonds de solidarité, font payer leur personnel en chômage partiel et empruntent en sachant qu’ils ne pourront pas rembourser. D’autres, qui ont démarré leur entreprise fin 2019, sont à la peine parce qu’ils ne peuvent pas donner de référence comparative sur les mêmes mois de 2019. Certains métiers sont indemnisés et d’autres non, selon les méandres bureaucratiques des nomenclatures gouvernementales.
Le quoi qu’il en coûte fait des émules dans les collectivités locales qui, à leur tour, dispensent sans compter l’argent des contribuables, comme cette ville de la métropole lyonnaise dont le conseil municipal de majorité Les Républicains a voté des crédits non négligeables (300 000€) pour subventionner à 50% les achats chez les commerçants de sa commune.
Jeudi, un projet de loi concernant le retour à l’emploi des bénéficiaires du RSA passera devant le Sénat. Ce projet prévoit, à l’article 3, que “les revenus professionnels perçus dans…