C’est la question que se pose l’éditorialiste et écrivain Andy Kessler. Selon la théorie du changement climatique, l’excès de dioxyde de carbone et de méthane bloque les rayons solaires dans l’atmosphère, et ce sont ces gaz à effet de serre artificielle qui renvoient une plus grande partie de cette chaleur vers la Terre, réchauffant la planète. Mais La Terre existe depuis 4,5 milliards d’années et les organismes vivants depuis 3,7 milliards d’années. Durant toutes ces années, la planète a connu d’énormes variations des températures et pourtant elle a toujours retrouvé un climat normal, sinon la vie n’aurait jamais pu continuer. Aujourd’hui, c’est pareil. Les catastrophistes patentés ignorent superbement les modélisations climatiques, la capacité qu’a la Terre de s’adapter, et l’auto-régulation du climat.
Selon le scientifique Steven Koonin dont notre institut a, le premier, mentionné les théories, « les propriétés des nuages et leur impact dans les modèles climatiques sont souvent bricolées pour correspondre aux observations ». Autrement dit, on ne sait pas très bien modéliser les nuages alors que l’on sait qu’ils bloquent les rayons solaires et font baisser la température. Richard Lindzen, professeur au Massachusetts Institute of Technology et auteur principal d’un premier rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), a récemment affirmé : « Les températures sous les tropiques restent relativement constantes par rapport aux changements des températures des tropiques aux pôles. La différence tropique-polaire est d’environ 40 degrés Celsius aujourd’hui, mais elle était de 20 degrés pendant l’époque chaude de l’Éocène et de 60 degrés pendant les périodes glaciaires. Cette différence a plus à voir avec les changements dans la rotation de la Terre, comme l’oscillation, qu’autre chose. » Selon M. Lindzen, cet effet est environ 70 fois plus important que les gaz à effet de serre d’origine humaine.
Enfin, le mois dernier, les modélisateurs de l’Organisation météorologique mondiale des Nations Unies ont déclaré que le « réchauffement d’El Niño » et le « changement climatique provoqué par l’homme » signifient qu’il y a « 66 % de probabilité que les températures mondiales moyennes annuelles dépassent le seuil de 1,5 degré Celsius au-dessus niveaux préindustriels d’ici 2027. » Pour la première fois, El Niño est mentionné en premier.
Le climat se réchauffe mais il existe encore des incertitudes sur les causes. Et rien ne justifie de paniquer ou de mépriser les théories qui ne seraient pas catastrophistes et qui ne mettent pas forcément l’homme en cause.
10 commentaires
Décidément tous les abrutis du monde cherchent à contrôler la planète à l’instar de la population ! De nos jours plus ils ont de titres plus ils deviennent con mais cela semble normal c’est comme les migrants c’est l’effet du nombre plus il y a de fainéants diplômés plus nombreuses seront les idioties de tout ordre nécessaires pour justifier leur misérable existence d’assisté de la société. Le malheur c’est qu’il en sort quelques millions de toutes ces grandes écoles ainsi que des illuminés se prétendant éditorialiste ou autre titre ronflant d’assisté du système. Et c’est là le vrai problème du monde actuel.
Il est remarquable de constater les erreurs des politiciens et leurs incapacités à gérer un budget annuel, maîtriser une dette un déficit et avoir une idée claire sur EDF, la SNCF, les retraites, etc. qu’ils prétendent maintenant s’attaquer au climat. J’ai peur des conséquences
‌Le CO2 et le méthane ne bloquent pas les rayons solaires. Seule la vapeur d’eau le fait. Le CO2 naturel bloque 10 % du rayonnement infrarouge provenant du sol ; le CO2 anthropique 1 %..
La probabilité que la Terre, sous l’influence d’El Nino, augmente sa température de 0,4 °C dans les quatre ans qui viennent est de zéro. Tout au plus, peut-elle subir un pic transitoire de 0,2 °C.
Plus que les erreurs sur les causes, nous entendons surtout des erreurs de diagnostic. Je vous conseille de lire le livre de Michel Vieillefosse, « Réchauffement climatique, une affaire entre la nature et l’homme », pour comprendre les phénomènes en jeu..
Oui, vous avez raison, dans une tribune signée Jean-Philippe Delsol, l’IREF avançait des arguments qui invalident la doxa du GIEC. Raisonnablement, la synthèse des évènements connus relatifs à l’évolution climatique, nous invite à construire des modèles plus pertinents que ceux actuels. La difficulté des analyses provient de la discordance entre certaines thèses qui reprennent des valeurs qui ne sont pas en accord avec les observations les plus récentes : par exemple, une thèse en accès libre de Mr. Florent Briant de 2012, qui reprend une valeur de 3.7W/m2 (GIEC) pour l’effet anthropique alors que la Nasa détermine 0.5W/m2 grâce à l’observations satellitaire. On peut remarquer, dans cette même thèse, que l’activité volcanique, qui est considérée comme mineure, par « temps calme », peut affecter l’équilibre atmosphérique, de moins 2 à 3W/m2 dans le cas d’éruptions avec des aérosols. Mais il arrive dans le cas des volcans sous marins que ce soit avec une augmentation de la vapeur d’eau (Hunga Tonga en janvier 2022), produisant l’effet inverse. Dans ce dernier cas, plus 10% de vapeur d’eau qui est responsable de 50% de l’effet de serre. D’autres pistes doivent être explorées : nous avons la chance de vivre sur un planète qui possède un champ magnétique, celui-ci nous protège des rayons nocifs du soleil, mais ce champ magnétique peut être affecté par les éjections de masse coronales solaires et on ne sait pas précisément le résultat de ces interactions, mais on constate que notre pôle nord se déplace plus vite ces dernières décennies. Si on pense connaitre les cycles solaires, l’apparition des taches solaires devant lesquelles nous passons parfois, nous envoie des quantités d’énergie considérables. (perturbation des télécommunications, chutes de satellites). la NOAA nous donne des indications sur cette activité. (https://www.swpc.noaa.gov/products/solar-cycle-progression). Nous devons admettre notre insuffisance de connaissance, éviter de conclure et surtout prendre des décisions qui peuvent avoir des conséquences inattendues (par exemple croire que les dispositifs déployés pour ce qui est appelé renouvelable sont sans effet sur les échanges thermiques atmosphérique…)
Deux remarques. 1- Contrairement à ce qu’on nous raconte, selon plusieurs observateurs, la température globale de la terre n’augmenterait plus depuis 9 ans. A vérifier. 2 – Le CO2 ne représente que 0,041% des gaz atmosphériques, il ne peut donc en aucun cas, au vu de la faiblesse de sa présence, être un gaz à effet de serre. Le GIEC et consorts essayent de nous faire avaler cette monumentale stupidité afin de nous soutirer des taxes et nous obliger à des façons de vivre qui n’ont aucun intérêt pour nous, bien au contraire. A qui profite le crime? Là est la vraie question.
Bonjour Picot, le crime profite aux idéologues tels que Maurice Strong (l’inventeur de la néo-religion Carbo-Climatique) et à ses amis Onusiens comme Klaus Schwab (l’illuminé maître du monde…) : https://climatetverite.net/2022/11/23/la-fabrication-du-consentement-le-pass-carbone-arrive/ Bien entendu quelques profiteurs s’enrichissent passage: https://climatetverite.net/2023/01/26/comment-al-gore-a-gagne-330-millions-de-dollars-avec-lalarmisme-climatique/ pour moins que cela, vous faites semblant de croire à un nouveau bon dieu… En attendant, cette hystérie carbo-climatique en bande organisée et institutionalisée nous assure le déclin de la France et le déclassement des Français. Cela dans la droite ligne des 80 km/h, des malus à 50 000 €, des sur-sur-sur-taxes sur les carburants, de la désindustrialisation et de l’assignation à résidence des Français. Seul un changement de ce gouvernement d’idéologue, d’incapable, voire de traite à la patrie pourra stopper ce massacre économique, donc ce massacre social. Merci
« ce sont ces gaz à effet de serre artificielle qui renvoient une plus grande partie de cette chaleur vers la Terre, réchauffant la planète. » Théorie en violation du 2è principe de la thermodynamique : Même en admettant l’absorption de la chaleur terrestre par le CO2 atmosphérique (qui reste à quantifier), elle ne peut en aucun cas être renvoyée de l’atmosphère (froide) vers la Terre (chaude). Un élève de Seconde le sait, mais apparemment pas les « experts » du GIEC.
Bonjour Bernard, le GIEC (Groupement International, d’Escrocs Climatique) n’est pas un institut de recherche, mais un couvent carbo-climatique au ordre de l’ONU et le doigt sur la couture, c’est bien connu. A quand un Nuremberg du climat ? Merci
JFC
Le site web de l’Encyclopedia Universalis » présente des informations particulièrement intéressantes accompagnées de media dont le contenu facilite la compréhension, et de nombreuses références aux Auteurs.
Évidemment rien à voir avec ce que racontent les prophètes du malheur
Quand on est loin de posséder les connaissances relatives au climat et à ses évolutions – ce qui est mon cas – il est beaucoup plus facile de tordre le cou aux délires écologistes, mais surtout de mieux comprendre ce qui se passe réellement et ce à quoi nous pouvons ou devons (?) nous attendre dans les années ou les siècles à venir.
Ci-après un lien vers l’Enciclopédie Universalis :
https://www.universalis.fr/encyclopedie/climatologie/#c19943
Le changement ou le réchauffement climatique (c’est selon) c’est le fonds de commerce du GIEC dont les « études » sont contredites par nombre de scientifiques mais curieusement nous n’entendons jamais parler – ou si peu – de ces contradicteurs. La grosse cavalerie écolo fait la loi, ce qui permet aux gouvernements de créer de nouvelles taxes et de nous enfumer.