« C’est pourquoi il n’y aura pas de réforme politique, il n’y aura pas de changement majeur de la politique économique, viable et durable, sans un renversement complet des habitudes de pensée. Il n’y a pas de tâche plus urgente que de faire comprendre qu’on ne peut pas défendre la liberté de manière vague et collective, que la prospérité n’est elle-même qu’une conséquence parmi d’autres de la liberté individuelle, que le retour à la responsabilité personnelle dans tous les domaines, à tous les niveaux, est le seul moyen d’atteindre une société plus libre, plus juste, plus pacifique et plus prospère. Il n’est donc pas de tâche plus urgente pour tous – jeunes ou vieux, salariés ou employeurs, pauvres ou riches – que de faire l’effort intellectuel nécessaire pour la restauration de leur liberté. »
Pascal Salin, Français, n’ayez pas peur du libéralisme, Paris, Odile Jacob, 2007, p. 282.
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Bravo Monsieur Pascal Salin, vous avez mille fois raison, mais le français est à 80 % socialoverdocommuniste. Le mot libéralisme lui est étranger jusque dans sa signification !!? C’est un veau, bête à bouffer du foin car il préfère la misère et la médiocrité alors que si les idées libérales triomphaient, la France serait l’un des Pays les plus prospères du monde !
Dès lors, je pense que la France est cuite, en faillite, elle ne pourra se relever qu’avec des mesures LIBÉRALES imposées par le FMI et la banque mondiale !
Merci de défendre le bon sens !