L’État va devoir trouver 900 millions d’euros pour garantir les engagements pris par l’AFITF – Agence de financement des infrastructures de transport de France.
Encore un scandale fiscal pour le gouvernement ?
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Cette note, rédigée par Lucas Léger, chercheur à l’IREF et auteur d’un ouvrage récent sur la mondialisation, rappelle l’irréalisme et les dangers du « protectionnisme modéré » à la mode dans les médias. Non, la mondialisation ne crée pas le chômage, ne diminue pas les salaires et n’accroît pas les inégalités.
L’Etat français peut-il interdire aux frontaliers de s’assurer en Suisse ? La santé fait-elle partie du domaine régalien ? On peut en douter quand on observe la faillite de la Sécurité Sociale et quand on voit les performances de systèmes privés et concurrentiels en Allemagne, Suisse et Pays Bas, telles que les a présentées le rapport très récent de l’IREF.
L’abus de pouvoir prend aujourd’hui la forme d’une multiplication de textes, posant de nouvelles normes, créant de nouveaux impôts. Le secteur financier est particulièrement touché. Rappel de quelques-uns de ces abus au cours des dernières semaines : qui va rester en France ?
Voici l’histoire – amusante et inquiétante à la fois – d’un « client » de La Poste qui a tenté (en vain) de faire timbrer un lot de 400 lettres. Sa conclusion : vivement la privatisation et la concurrence !
Les attaques contre les riches continuent alors que c’est bien l’Etat qui se goinfre sur le dos des contribuables. Dans un livre qui vient de paraître, les sociologues-idéologues Michel et Monique Pinçon-Charlot s’en prennent à ceux qu’ils considèrent comme des « délinquants ». Non, les « riches » ne sont pas des délinquants, ce sont surtout des entrepreneurs qui créent des emplois.
Quelle incidence pourrait avoir un blocage budgétaire dans notre pays semblable à celui que connaissent les Etats Unis ? L’IREF a fait le calcul : le chômage technique toucherait 20 % des fonctionnaires – contre 40 % aux Etats Unis. La non-dépense (appelons-la économie) serait de 17,5 Mds d’euros.
Les Plans d’Epargne en Actions (PEA) n’échappent pas à la « pause fiscale » : leurs titulaires se voient frappés d’un prélèvement de 15,5 % avec effet rétroactif ! Il s’agit d’une véritable spoliation que l’IREF condamne fermement.
Les documents budgétaires en discussion au Parlement sont trompeurs. En France, les gouvernants savent jouer sur les chiffres et les changer d’un document sur l’autre. Ils font croire que les recettes s’amélioreront : première tromperie. Et que les dépenses diminueront : deuxième tromperie. On se dirige plutôt vers une dette à 95 % du PIB et un déficit à 82,2 milliards d’euros.
Au sein de la communauté scientifique mondiale, un tiers de savants seulement croit à un réchauffement aussi catastrophique que celui que décrit le GIEC. Au sein même du GIEC, il y a divergence d’opinions. Mais l’important n’est-il pas de diffuser le message idéologique ?