L’IREF l’a écrit il y exactement un an, au début de la pandémie : l’hôpital français est malade de sa bureaucratie. Le Figaro partage ce constat dans son enquête et…
Nicolas Lecaussin
Nicolas Lecaussin
Directeur de l'IREF, Nicolas Lecaussin est diplômé de Sciences-po Paris, ancien président de l'IFRAP (Institut Français de Recherche sur les Administrations Publiques), fondateur de l'association Entrepreneur Junior et auteur de plusieurs ouvrages sur le capitalisme, l’Etat et les politiques publiques. Auteur et co-auteur de plusieurs ouvrages dont : Cet État qui tue la France (Plon, 2005), L’absolutisme efficace (Plon, 2008), Au secours, ils veulent la peau du capitalisme ! (First Editions, 2009), A quoi servent les riches, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Lattès, 2012), L’obsession antilibérale française (Éditions Libréchange, 2014), Anti-Piketty, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions Libréchange, 2015), Echec de l'Etat, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions du Rocher, 2017), Les donneurs de leçons (Éditions du Rocher, 2019).
Economie, vaccins, Sénat, immigration… : Biden bénéficie de l’immunité médiatique et peut dire ce qu’il veut
Entre 2016 et 2020, ils dégainaient plus vite que leur ombre pour flinguer l’ancien président Trump. Journalistes, experts, correspondants… haletaient dans l’attente du moindre tweet, de la moindre déclaration, qu’ils déchiquetaient la plupart du temps sans rien vérifier. Aujourd’hui, la donne a changé. Depuis que Biden a été élu, l’Amérique est devenue une sorte de paradis où la nouvelle administration fait des miracles tous les jours. Le nouveau président semble touché par la grâce… médiatique comme on a pu le constater le 25 mars dernier, lorsqu’il a tenu, enfin, sa première conférence de presse.
Bien sûr, personne n’a osé l’interroger, mais n’on avait jamais vu une conférence de presse aussi tardive après l’élection. Personne n’a osé non plus – il s’agissait d’une rencontre non-mixte entre zélateurs « bidenisés » – faire remarquer certaines déformations de la réalité ou promesses inquiétantes.
Il y a 40 ans, l’attentat raté contre le président Reagan et ses conséquences
C’était il y a exactement 40 ans, le 30 mars 1981. Devant l’hôtel Hilton de Washington, un homme tire sur le président Ronald Reagan, en fonction depuis à peine deux…
La crise actuelle c’est du pain béni pour les anti-européens. Il y a quelques mois, Bruxelles soutenait que la bataille contre la Covid allait être gagnée ensemble, avec tous les…
C’est l’histoire d’un professeur de religions dans un collège public britannique. Il aurait montré, dans le cadre de son cours, des caricatures de Mahomet. C’est la version avancée par une…
L’Amérique et l’économie : le « visionnaire » Jacques Attali n’a pas bien vu l’avenir
Il est partout et il se prononce sur tout. Jacques Attali, l’ancien conseiller de François Mitterrand, est toujours très demandé pour analyser l’actualité et prévoir l’avenir. Comme un vrai gourou,…
Les cinémas sont fermés mais il passe en ce moment sur Canal+. L’ombre de Staline, le film d’Agnieska Holland, raconte l’histoire – vraie – d’un journaliste, Gareth Jones, qui a……
Le saviez-vous ? Les entreprises françaises ne sont pas suffisamment taxées, ne payent pas beaucoup de charges et très peu de réglementations pèsent sur elles. C’est ce que doivent croire ceux qui ont conçu et ceux qui ont voté le « délit d’écocide » dans la loi Climat et résilience.
Notre tableau publié il y a quelques jours a fait beaucoup de bruit. Et pour cause. Il est saisissant car nous avons pu montrer que le total des charges payées par l’employeur et par l’employé pourrait représenter une somme plus élevée que le montant du salaire net : 101 %. C’est deux ou trois fois plus que dans les autres pays européens comme l’Allemagne, les Pays-Bas ou le Royaume-Uni. Cette charge est pénalisante pour l’employé car il s’agit de l’argent qui devrait lui revenir grâce aux richesses créées par l’entreprise dans laquelle il travaille.
Jean Barraud : Le feuilleton hallucinant des deux sièges de Paris: 1870 – 1871 : la guerre – la capitulation – la Commune
Cet ouvrage est une chronologie, qui va du 5 juillet 1870 à la « Semaine sanglante », fin mai 1871. Avec un préambule sur les années 1854-1870 rappelant les événements qui ont conduit au premier siège de Paris par les Prussiens. Il a été réalisé par un ancien journaliste du Figaro, maintenant décédé, Jean Barraud.