L « icône romantique » auquel la maire de Paris consacre une exposition gratuite (comprendre avec l’argent des contribuables) a été l’un des pires criminels du communisme. Non pas en nombre de personnes tuées car rien ne peut dépasser les crimes de Staline ou de Mao, mais par la manière. Che Guevara a tué de ses propres mains et ne s’en est pas caché.
Nicolas Lecaussin
Nicolas Lecaussin
Directeur de l'IREF, Nicolas Lecaussin est diplômé de Sciences-po Paris, ancien président de l'IFRAP (Institut Français de Recherche sur les Administrations Publiques), fondateur de l'association Entrepreneur Junior et auteur de plusieurs ouvrages sur le capitalisme, l’Etat et les politiques publiques. Auteur et co-auteur de plusieurs ouvrages dont : Cet État qui tue la France (Plon, 2005), L’absolutisme efficace (Plon, 2008), Au secours, ils veulent la peau du capitalisme ! (First Editions, 2009), A quoi servent les riches, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Lattès, 2012), L’obsession antilibérale française (Éditions Libréchange, 2014), Anti-Piketty, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions Libréchange, 2015), Echec de l'Etat, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions du Rocher, 2017), Les donneurs de leçons (Éditions du Rocher, 2019).
Fiscalité, dépense publique : pourquoi Macron devrait suivre l’exemple canadien
Le Canada pourrait servir d’exemple à la France car ce pays a drastiquement baissé les dépenses publiques et les impôts. C’est ce que démontrent Nicolas Lecaussin et Kevin Brookes de…
L’événement est passé presqu’inaperçu dans les médias français. Et pour cause. Le 17 décembre dernier, le Chili s’est débarrassé du socialisme ! Ce n’est pourtant pas ce qu’annonce le quotidien Les Echos grâce à son envoyé spécial qui titre : « Les impasses du néolibéralisme à la chilienne » (mardi 19 décembre). A en croire l’auteur de l’article d’une page entière, les Chiliens auraient rejeté les méfaits du « néolibéralisme » !
La Chronique (20 décembre) de Jean Nouailhac sur le site du Point cite abondamment les travaux de l’IREF sur Thomas Piketty. Lire.
L’Etude de l’IREF sur la politique viticole est longuement présentée dans le numéro de décembre de la revue Vigne. Lire.
Toujours plus d’impôts, toujours plus de fonctionnaires et toujours plus d’Etat !
L’article de Nicolas Lecaussin sur la réforme de l’Etat et le nombre de fonctionnaires en France est publié par le quotidien l’Opinion dans son édition du 20 décembre.
On le croyait retiré quelque part, plein de regrets, culpabilisant après avoir truqué ses statistiques. Eh bien non, Thomas Pikett revient comme si de rien n’était. Dans une longue interview accordée au magazine Challenges (14 décembre), il reprend sa charge contre les riches, à l’occasion de la publication d’un nouveau rapport sur les inégalités dans le monde. « La captation de la croissance par les plus riches est inquiétante », soutient-il péremptoirement sans se soucier des éventuelles critiques qui pourraient lui être adressées. Il sait que les journalistes n’en feront pas et pour ce qui est des autres, il a pris l’habitude de ne pas y répondre.
La période de Noël est aussi très propice à la lecture. L’IREF vous recommande quelques ouvrages politiquement et économiquement incorrects… pour y puiser les remèdes indispensables dans un pays où l’on trouve encore trop d’idéologie bien-pensante…
Les gouvernants ne cessent de mentionner la formation professionnelle et l’apprentissage dans leurs discours – et leurs promesses – sur le chômage. Ils oublient néanmoins de rappeler quelques données essentielles et surtout l’échec de leurs politiques. Officiellement, la formation professionnelle représente plus de 31 Mds d’euros. Pour quels résultats ? Le taux de chômage français est plus de deux fois supérieur à celui de la plupart des pays riches. Celui des jeunes est même quatre fois plus élevé qu’en Suisse ou en Allemagne !
Il s’agit d’un recueil d’essais sous la direction du professeur Kurt R. Leube et publié en l’honneur du Prince Michael de Liechtenstein, entrepreneur, commentateur, analyste et mécène qui ne cesse de militer au service des idées libérales. Les contributeurs – des universitaires et des acteurs de la société civile de nombreux pays, un ancien président (Vaclav Klaus) ou bien un ancien ministre (Mel Cappe) – passent en revue différents thèmes qui sont chers au prince Michael. La géopolitique et les extraordinaires mutations actuelles avec l’essor des populismes et le retour des nations. C’est maintenant que la société civile doit jouer un rôle important et influer sur les décisions gouvernementales. L’exemple du petit Etat du Liechstenstein, – un « îlot de libertés » comme le nomme Vaclav Klaus – nous rappelle qu’il est tout à fait possible de limiter les pouvoirs des gouvernements tout en faisant confiance à la démocratie directe et aux droits de propriété.