Les Insoumis ont fait bloc derrière lui. Pourtant, Carlos Martens Bilongo est fortement soupçonné d’avoir dissimulé autour de 200 000 euros de revenus à l’Etat par le biais de ses sociétés, de détenir un compte à l’étranger non déclaré et d’avoir habité et même sous-loué un logement social pendant plusieurs années alors qu’il avait acheté deux appartements (il conteste certains de ces faits). Dans une interview lunaire, Mathilde Panot prend sa défense sur tous ces points.
LFI avait fait de la lutte contre la fraude fiscale une priorité et ne cesse de dénoncer le fait qu’il y a beaucoup de « pauvres gens qui n’arrivent pas à avoir de logement social”. Pour dénoncer toutes les affaires des autres partis avant qu’elles ne soient jugées (Fillon, Rugy, Le Pen ou encore McKinsey…), les « Insoumis » ont toujours répondu présent. Qui peut imaginer ce que LFI aurait dit si de tels soupçons avaient été émis à l’égard d’un élu d’un autre parti ? Pourtant enfin, l’affaire Quatennens nous avait prévenus : en matière d’hypocrisie, la médaille d’or revient certainement à ce parti. Pas grave : les législatives sont derrière eux mais pas sûr que tout cela sera oublié en 2027. Finalement eux aussi vont devoir traîner leurs casseroles.
3 commentaires
tout élu vit aux dépens de celui qu’il écoute
Mélenchon, itinéraire d’un collabo-islamo-gaucho-populiste. Du Lìder maximo Fidel Melenchavez, en passant par
l’ayatollah Melenchomeini, pour finir en Duce Gianni Luca Melenssolini.
Melenssolini ne supporte pas la contradiction et la libre expression, surtout lorsqu’elle le met en face de ses choix
pour le moins douteux, comme lorsque l’antisémite affirmé et travailliste anglais Jeremy Corbyn participe à sa
campagne pour les législatives *, tout comme lorsqu’il va ratisser les voix musulmanes dans une manifestation
organisée par le CCIF (organisation islamiste depuis interdite et dissoute). L’Insoumis en devient violent et agressif,
oscillant entre insultes, intimidations, menaces physiques par procuration, épurations dans son propre parti, pression de la rue et manœuvres politiciennes, digne des « chemises noires » propagandistes et musclées mussoliniennes des années 1920. Mélenchon a donc en commun avec Mussolini son itinéraire personnel, professionnel et politique. Outre son ego surdimentionné, il vient également de l’extrême gauche pacifiste, puis socialiste marxisant, glissant ensuite vers l’étatisme autoritaire, le bellicisme nationaliste, le populisme social, le communautarisme électoraliste et le népotisme familial (plaçant sa fille et son gendre Amard aux bonnes places, comme Mussolini le fit avec son gendre Ciano).
Admirateur de la plupart des dictateurs de gauche (de Robespierre à Castro en passant par Chavez, Maduro, Ortéga,
Poutine…) Mélenchon s’inspire qui plus est, avec son programme électoral « tout Etat » et la création d’un « homme
nouveau » de l’inventeur du fascisme, Mussolini, qui définissait ainsi le fascisme : “Tout dans l’État, rien hors de l’État, rien contre l’État !”
A quand une « Marche sur Paris » pour satisfaire l’ambition et compléter le portrait de Gianni Luca Melenssolini ?
Lire la suite: https://drive.google.com/file/d/1HDVrVC93peDeIkZ0ornkavF3g0L_BVmC/view?usp=sharing
Un bénéficiaire d’un logement social, dont le loyer est en partie subventionné par le contribuable, et qui fait un investissement locatif pour bénéficier des loyers d’un pauvre locataire du parc privé ? Pas très moral…surtout de la part d’un membre d’un parti qui vilipende fréquemment les affreux propriétaires privés ? Non, je n’y crois pas, c’est sûrement un complot de l’extrême-droite (lol).
Quant à pousser des cris d’orfraie au sujet de « fuites judiciaires illégales », rions.