Après Mila, exclue de son lycée pour la “protéger”, après les menaces de mort contre de nombreuses personnalités telles que Zineb El Rhazoui ou encore le philosophe de gauche Henri Peña-Ruiz qui osa rappeler que l’islamophobie est un droit, voilà la chercheuse Florence Bergeaud-Blackler interdite de conférence à la Sorbonne sur son livre Le Frérisme et ses réseaux, pour des raisons de “sécurité”. Plus précisément, l’université affirme que “l’argument pour reporter la conférence était le risque d’incidents et de blocage des universités lors des périodes d’examen”, une excuse sur laquelle on peut s’interroger. Mais de quoi exactement la Sorbonne a-t-elle peur en la censurant ? De l’image “islamophobe” que certains pourraient lui coller ? D’un attentat ? Dans les deux cas, il s’agit d’une énième capitulation de la France face aux islamistes, qui menacent de mort quiconque ose livrer une analyse critique de l’islam. En effet, il ne faut pas céder aux menaces. La liberté académique devrait passer au-dessus de toute considération sécuritaire, sinon c’est le règne de la terreur. Certes les universités n’ont pas de budget mais l’Etat aurait dû, sans hésiter une seconde, mobiliser tous les moyens sécuritaires nécessaires pour garantir et protéger la tenue de cette conférence.
Mais non. Une fois encore, Emmanuel Macron a sacrifié la liberté d’expression religieuse sur l’autel de l’islam…
Cette affaire nous rappelle que partout en France, les digues ont cédé sur la liberté de critiquer les religions, et en particulier l’islam. Elle montre, une fois de plus, la terreur que fait régner l’islamisme à l’égard de cette liberté, preuve s’il en fallait encore une, de l’intolérance totale et effrayante de ces musulmans radicaux face auxquels la France doit réagir.
3 commentaires
De petites lâchetés que nous paieront cher… les loups ne s’attaquent qu’aux plus faibles !
Ils sont tous terrorisés par l idée d être un raciste blanc islamophobe, hetero ayant un travail et une famille sans crise médiatisée
Voulez-vous m’expliquer en quoi Macron (qui n’est pas avare d’autre part de faux pas) serait responsable de cette décision? L’université est largement autonome dans ses prises de position et ne manque pas d’exercer cette liberté séculaire. De plus elle n’a besoin de personne pour affirmer ses positions en faveur du « vivre ensemble » et généralement parlant, de tout ce que sont ses dada de l’extrême-gauche pro-islamique, tout en voyant une menace d’extrême-droite fantasmée mais bien pratique pour clore la parole à tous ceux qui pourraient affaiblir son crédo.