Boris Johnson est souvent critiqué par les médias. Parfois avec raison, parfois simplement parce qu’il incarnerait le Brexit. Mais, au moins, le Premier ministre britannique a été l’un des plus actifs dans le soutien et la défense de l’Ukraine. Comme le souligne le Wall Street Journal, Boris Johnson a effectué un voyage personnel à Kiev pour rendre visite, le week-end dernier, au président Volodymyr Zelensky, visite qui comprenait une rencontre en tête-à-tête et une promenade dans les rues. C’est symbolique après que l’Ukraine a remporté la bataille de Kiev, que M. Johnson a qualifiée du « plus grand fait d’armes du 21e siècle ». La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’est-elle aussi rendue à Kiev et a proposé une voie rapide vers l’adhésion à l’Union européenne.
Ces déplacements représentent un signal politique important et un énorme encouragement pour les Ukrainiens. Mais ce qui compte le plus pour eux ce sont les armes lourdes alors qu’une nouvelle campagne se déroule dans l’est de l’Ukraine. La Grande-Bretagne a annoncé l’envoi de 120 véhicules blindés et de nouveaux missiles antinavires. Cela peut énormément compter à dissuader les Russes de lancer un débarquement maritime à Odessa, au bord de la mer Noire.
8 commentaires
Bonjour Monsieur Lecaussin,
Je ne pense pas qu’envoyer des armes soit la solution, cela aggravera les dégâts et augmentera les morts.
L’Europe aurait du et devrais utiliser la voix diplomatique et se placer aux centre des discussions dans ce conflit qui dure depuis 2014
Nous avons fermé les yeux trop content de recevoir notre gaz alors que le conflit montait doucement.
Maintenant nous nous retrouvons de fait en guerre larvée avec la Russie, et on ne peut jamais predire comment une telle situation peut se terminer une chose est sure nous avons tout à y perdre
Bonjour, je ne vois pas ce que ça pourrait aggraver. I L0, il s’agit de sauver le peuple ukrainien.
Bien à vous
Il est impossible de discuter avec quelqu’un qui ne veut rien entendre.
Je ne suis pas vétérinaire et mon vétérinaire n’a pas réussi à sauver mon chien. Laissons faire les américains vétérinaires de la planète avec leur OTAN mortifère et passons à autre chose qui nous concerne. L’Ukraine est le cheval de Troie de Biden pour la 3° et sûrement la dernière. Je partage l’avis de François.
Heureusement qu’il y a eu des vétérinaires…sinon la France subirait le même sort…
Vous partagez surtout la même honte.
Pas de problème à identifier les tenants de ces théories, à l’encontre de ce qu’on peut observer juste en ouvrant les yeux: l’Otan, c’est l’agresseur, le mal absolu, l’homme à abattre. Par Otan, lisez l’américain honni.
Sans qui il y a belle lurette que nous serions, avec la collaboration joyeuse de ceux-là, sous le joug poutinien, avatar du communisme stalinien.
Mêmes mensonges, même travail de sape, arguments fallacieux identiques; on se croirait aux beaux jours du Komintern. Extreme gauche, main dans la main avec l’extrême droite. Un précédent: L’alliance invraisemblable de Staline et d’Hitler…
Facile de vitupérer lorsqu’on fait abstraction de pans entiers de l’Histoire. Hitler n’a jamais été d’extrême droite. C’est la gauche qui l’a dénommé ainsi afin de se dédouaner de ses responsabilités, tout comme elle n’a jamais fait le procès du communisme et de Staline (qui était un enfant de coeur à côté de Trotsky dont bon nombre de gens de gauche d’aujourd’hui se réfèrent). Par ailleurs me qualifier d’extrême droite vous positionne totalement à gauche, car de tout temps je suis resté gaulliste (UJP dès 1968) et le suis encore, mais dans sa forme initiale et non pas celle galvaudée par l’intelligentsia délirante de notre pays. Vous pouvez continuer à ahaner tout votre soûl, vous ne m’impressionnez pas, et question COURAGE, je suis désolé de vous décevoir, mais j’ai fait mes preuves depuis belle lurette.