La fin de la présidence d’Obama et l’investiture de Trump ont largement fait passer en arrière plan une information assez croustillante en matière « d’influence » : la fermeture imminente de la Clinton Global Initiative (CGI) de la famille Clinton. Simple hasard ou preuve de la connivence entre le politique et l’économique sous le masque de l’humanitaire ?
Syndicats
La France reste le dernier pays développé où les syndicats, pourtant vidés de leur base d’adhérents, font encore la pluie et le beau temps sur les politiques économiques et sociales.
La raison : des financements publics qui leurs assurent une capacité de nuisance sans aucune mesure avec leur représentativité.
Comme nous, demandez la fin des subventions publiques aux syndicats afin de libérer l’emploi et la croissance !
Le cirque du syndicalisme français continue de plus belle, avec la bénédiction de l’Etat. Vous ne le saviez sûrement pas, mais lors des deux dernières semaines (jusqu’au 13 janvier) avaient lieu les élections des représentants syndicaux des TPE. Il s’agit vraiment d’un monde à part !
L’ancien député Nicolas Perruchot vient d’envoyer aux candidats de la primaire de droite et à 3 postulants à gauche, 8 propositions pour réformer le paritarisme. C’est une excellente initiative que l’IREF soutient tout en proposant d’aller beaucoup plus loin : il faut d’abord ne plus verser de l’argent public aux syndicats !
Donald Trump a beau être un milliardaire. Ses confrères ne le soutiennent pas. Sur les 23 milliardaires qui ont fait des dons pour cette campagne présidentielle aux Etats-Unis, 4 seulement ont donné 18 millions de dollars à Trump et 19 ont donné 70 millions de dollars à Hillary Clinton.
Pour en finir avec le financement opaque des syndicats !
Nicolas Lecaussin est l’invité (20 septembre) d’Eric Brunet sur RMC pour débattre du financement des syndicats français. Ecoutez l’émission.
Pourquoi les syndicats français bénéficient-ils d’une totale impunité ?
L’article de Nicolas Lecaussin est publié par Le Figaro dans son édition du 20 septembre. Lire.
La lutte contre le chômage est une priorité de tous les instants et de tous nos décideurs. Du moins dans les discours… Dans les faits, c’est rarement le cas. Ou alors la lutte prend la forme d’un maquillage des chiffres : des emplois jeunes par-ci, des formations par-là. Heureusement la CGT nous apporte sa contribution. Le syndicat de Montreuil ne fait pas que descendre dans la rue. Il réfléchit aussi, notamment au meilleur moyen de réduire le chômage. Et la solution est la réduction du temps de travail.
Dans le sillage des cheminots, la corporation des éboueurs publics s’est elle aussi mise en grève contre la loi El Khomri qui pourtant ne concerne pas directement les agents communaux. En conséquence, Paris et d’autres villes étouffent sous les ordures malodorantes. Évidemment, avec l’Euro 2016 accueilli par la France, pour les étrangers c’est l’incompréhension, surtout après les crues de la Seine de la semaine dernière. Difficile pour de nombreux Français de ne pas voir là une stratégie de prise en otage. Petit retour en arrière sur une profession dont la capacité de nuisance avec des grèves, au surplus récurrentes, est assez spectaculaire.
La guerre idéologique menée par la CGT bloque la France
L’article d’Emmanuel Martin, chercheur associé à l’IREF, est publié (7 juin) dans le quotidien italien Il Foglio .
La CGT bloquerait la France pour « l’intérêt général », en réaction contre une loi soi-disant dictée par les intérêts du capital. Est-ce la réalité ? N’y a-t-il pas une stratégie derrière ce radicalisme ? Pour comprendre sa stratégie de la terre brûlée, il convient de mettre en perspective la situation actuelle – la loi El Khomri n’étant qu’un prétexte – avec le lourd passé de ce syndicat. Organisation totalitaire, financement opaque et illégal, activités irrégulières… Désormais non représentative, la CGT ne devrait plus exister. Analyse sans concession d’une mafia syndicale prête à tout pour sa survie.