Les données présentées dans le rapport indiquent que les gouvernements qui ont mis en œuvre des réformes fiscales en ont récolté les fruits sous la forme d’un coup de fouet aux investissements et à la croissance. Là où la pression fiscale est moins élevée, le nombre de nouvelles entreprises et le montant des investissements est le plus élevé.
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Après Washington, l’Europe hausse le ton contre le secret bancaire
“Le secret qui permet aux gens d’abriter leur fortune sans payer d’impôts comme il se doit, on ne peut pas le tolérer. C’est injuste pour ceux qui n’ont pas d’autre choix que de payer. C’est l’une des choses que la Suisse doit régler. Si (la Suisse) veut faire partie de la communauté internationale, elle doit être ouverte”, a-t-il déclaré.
Le Rapport de l’Assemblée nationale rendu public il y a quelques jours conclut à une réforme mitigée du régime spécial de la SNCF dont « le gain pourrait être nul ». Ce n’est pas étonnant. Les agents ont obtenu des contreparties très coûteuses.
Pour un taux unique d’imposition à 15 %. C’est l’une des propositions de l’IREF. Pour l’argumentation, notre Institut publie, en collaboration avec l’association Contribuables associés et l’European Center of Austrian Economics, un ouvrage pédagogique qui explique la « flat tax » (l’impôt à taux unique) : La Flat Tax. La révolution fiscale de Robert E. Hall et Alvin Rabuschka et avec une introduction de Jean-Philippe Delsol et Pierre Garello, administrateur et, respectivement, Directeur des études de l’IREF. Cet impôt à taux unique consiste à imposer de manière proportionnelle tous les contribuables, individus comme entreprises, indépendamment de la provenance de leurs revenus ou de leur hauteur. La déclaration fiscale tiendra sur une carte postale. Plus d’une vingtaine de pays dans le monde ont déjà adopté cette taxe et la principale remarque à faire est que les rentrées fiscales ont augmenté.
Disposer d’une retraite au moins égale à votre salaire actuel, sans qu’il vous en coûte plus : il vous est interdit d’y rêver. Pour l’instant, dans le système français public…
L’âge de la retraite et les années de cotisation pour des pensions à taux plein sont au cœur de l’actualité sociale et politique. Quelle que soit l’issue des débats actuels, le sort des retraités et des cotisants français sera-t-il définitivement scellé ? Certainement pas.Les réformes proposées par le gouvernement appartiennent à la catégorie des soins palliatifs : elles accompagnent le malade dans ses derniers moments, mais n’évitent pas l’issue fatale. Voilà quarante ans, de réformette en réformette, qu’on fait de l’acharnement thérapeutique sans vouloir se rendre à la cruelle réalité : le système par répartition est condamné. Les syndicats, les retraités et les assurés ont raison de manifester contre une nouvelle couche de peinture sur le vieux raffiot de la Sécurité Sociale, qui ne tient plus que par la peinture. Ils devraient cependant faire preuve de plus de lucidité et savoir qu’il y a une solution et une seule pour arrêter la course à la hausse des cotisations et à la baisse des pensions : en finir avec la répartition, et passer à des systèmes de retraite qui ont fait leurs preuves, tant à l’étranger qu’en France même. Des systèmes où chaque Français, chaque famille française, aurait la possibilité de constituer son propre fonds de retraite.
En 2010, les Français seront autorisés à verser à un fonds de pension de leur choix une partie des cotisations vieillesse qu’ils payent actuellement à la Sécurité Sociale, ils pourront…
L’économie des pays européens a été touchée par la crise fin 2008 et la plupart des gouvernements ont choisi de réagir avec des mesures keynésiennes. C’est le cas de la France, l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne (un peu plus tard que les autres), le Royaume-Uni et tous les autres, même si, comme il arrive souvent en Europe, il y a des exception a la règle – en République Tchèque par exemple, les dépenses de l’Etat on diminue en 2008.
La retraite par capitalisation fait partie intégrante du régime obligatoire de l’assurance vieillesse. C’est un système “à cotisations définies” : le taux de cotisation est fixé à 2,5% des salaires ; et les sommes sont versées par les cotisants sur un compte individuel.
Même l’économiste étatiste Thomas Piketty le reconnaît : le taux de rendement des placements financiers est largement supérieur à celui de la répartition !