L’engagement politique et écologique est très fréquent chez les intellectuels et chez les « people ». Comme la grande majorité de ceux qui s’impliquent politiquement est à gauche, cela va de pair avec le militantisme en faveur de la protection de l’environnement. Une Etude qui vient de paraître du think tank américain Media Research Center (MRC) est justement consacrée au combat que mènent plusieurs célébrités américaines contre le réchauffement climatique. Comme leur impact médiatique est extrêmement important, il est important de savoir si l’engagement est sincère ou bien de circonstance.
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Avec les discours creux et souvent soporifiques de nos politiques, on savait depuis longtemps que l’éloquence avait déserté les bancs du Gouvernement, tout comme ceux du Parlement d’ailleurs. Le dépouillement des lois, décrets, règlements et circulaires, avait achevé de nous convaincre que notre personnel administratif n’était pas en reste et que ce qui se conçoit mal en haut s’écrit le plus souvent confusément en bas, avec notamment une sorte de peur panique d’être compris à première lecture, un travers administratif très français qui ne distingue pas d’ordinaire les intelligences les plus vives. On croyait ainsi avoir touché le fond, quand sans crier gare et à l’occasion de la dernière réforme des programmes des collèges, l’Education Nationale s’est brusquement mise en tête de nous révéler la richesse cachée de tous ses trésors et le génie puissamment créatif de ses penseurs d’élite.
Réforme de la politique familiale : il faut stopper cette politique de redistribution !
La question démographique sera au cœur des enjeux économiques de demain. En effet, si l’indice moyen de fécondité était de 1,59 enfant par femme en 2013 au sein de l’Union européenne, les disparités internationales sont immenses. Le taux de fécondité joue un rôle essentiel dans le renouvellement des populations et le soutien générationnel des populations vieillissantes. Un pays développé avec un fort taux de fécondité et des bonnes conditions sanitaires pèsera davantage dans le paysage économique mondial qu’un pays où la natalité n’est pas suffisante pour compenser la mortalité et et où le solde migratoire est déficitaire.
L’IREF et l’association « Entrepreneur Junior » organisent le mardi 19 mai à 19h30 au siège de l’IREF (35 avenue Mac-Mahon, 75017) le 9ème “Débat et dégustation libérale” sur le…
En septembre 2013, la chancelière Angela Merkel était réélue triomphalement pour un troisième mandat de suite. Les sondages et les commentateurs politiques (français surtout) avaient prédit un score très serré et l’obligation de composer un gouvernement de coalition. En cause, affirmaient-ils, l’austérité des réformes, les nombreux emplois précaires malgré la baisse du chômage et une certaine lassitude de l’électorat. Deux ans après, on nous a ressorti la même histoire lors des élections britanniques : les dures réformes lancées par David Cameron en 2010 n’ont pas été vraiment adoptées par les Britanniques et la baisse du chômage serait due surtout à une forte augmentation des contrats « zéro-heure » avec de terribles conséquences sur la précarité de l’emploi.
Dans une interview accordée au magazine l’Express (22 avril), l’économiste Daniel Cohen a fait plusieurs affirmations étonnantes. En voulant établir une « symétrie entre la situation des Etats-Unis et celle de la France », il affirme que « Les Américains connaissent une reprise sans salaire, alors que nous subissons une reprise sans emploi ».
Cet article de Thierry Benne, contributeur habituel de l’IREF, est le fruit d’un regard critique et pertinent sur la fiscalité locale. La proposition de Thierry Benne n’est pas celle de l’IREF, mais elle a le grand mérite de poser des questions utiles et de présenter des solutions intéressantes et permettant d’ouvrir un débat que le public n’a pas appréhendé jusqu’à ce jour. Elle devrait s’inscrire dans le grand chantier de réforme fiscale dont la France a besoin afin d’alléger et simplifier la fiscalité.
L’article de Nicolas Lecaussin est publié par le quotidien l’Opinion dans son édition du 15 avril.
A l’heure où dans de nombreuses villes, la rue a commencé à bruire de la grogne des retraités qui protestent contre le blocage de leurs pensions sur plusieurs années, il est opportun de se poser un certain nombre de questions sur les particularités qui fondent pour le secteur privé notre système de retraite par répartition. Ce système est chez nous dominant et même quasi-exclusif tant pour la retraite de base que pour les régimes complémentaires, alors que depuis longtemps la plupart des autres pays comparables ont sagement préféré introduire une dose significative de capitalisation, selon le vieux principe de sagesse financière qui veut qu’on ne met pas tous ses oeufs dans le même panier. A l’inverse donc, la France, elle, a tout misé ou presque sur le choix de la répartition en figeant indéfiniment une option arrêtée au sortir de la seconde guerre mondiale.