En France, il y a le vin et les fromages, les paysages, la littérature et plein d’autres choses dont elle peut être fière. Mais pour son ministre de l’Economie, il…
impôts
L’Irlande vient de dire non à l’impôt mondial sur les sociétés voulu par Joe Biden. Le ministre des finances irlandais, Paschal Donohoe, a déclaré : « Je soutiens absolument notre…
Dès la prise de ses fonctions en janvier, le président Joe Biden a réaffirmé son intention d’augmenter les impôts, en particulier ceux sur les « riches » et les entreprises. Par pure idéologie car la réforme fiscale de 2017 avait pourtant donné à l’économie américaine d’avant la Covid un dynamisme sans équivalent depuis 40 ans, avec une forte baisse du chômage et de la pauvreté et une excellente vitalité entrepreneuriale. Les démocrates américains ont trouvé le prétexte parfait avec la Covid pour distribuer environ 6 000 milliards de dollars.
Oui, bien sûr, il fallait aider les salariés, les indépendants, les entreprises… dès lors que les Etats avaient pris la décision d’immobiliser la société pour cause de pandémie. Mais cet arrêt forcé doublé d’une manne incontrôlée risque d’avoir des effets collatéraux pires que la pandémie.
Clemenceau avec un brin d’humour déclarait que « la France est un pays fertile : on y plante des fonctionnaires, il y pousse des impôts ». Il ne pouvait pas avoir plus raison. L’Etat français dispose d’une formidable créativité en matière de prélèvements obligatoires.
L’un des exemples les plus concrets est la CSG. La contribution sociale généralisée est née avec la loi de finance de 1990 grâce à l’esprit très créatif de Michel Rocard. Le taux de ce prélèvement obligatoire hybride, entre impôt et cotisation sociale, était initialement fixé à 1,1% sur le salaire brut. Il atteint actuellement de 9,2%…
Record des prélèvements obligatoires, record des dépenses publiques, inflation en hausse…l’Etat doit trouver de l’argent et c’est l’épargne des Français qui est menacée.
Le ministre de l’Action et des comptes publics, Olivier Dussopt, a récemment confié au Figaro que la crise du Covid-19 allait coûter 424 milliards d’euros aux finances publiques sur trois ans, en 2020, 2021 et 2022. Ces sommes comprennent des baisses de recettes fiscales et les dépenses exceptionnelles liées à la crise.
L’impôt sur les successions est un impôt injuste
Jean-Philippe Delsol, président de l’IREF, était l’invité de 24 heures Pujadas sur LCI (12 mai).
L’impôt sur la fortune immobilière (IFI) n’a pas produit les effets escomptés
Le remplacement de l’IFI par l’ISF n’a pas permis de créer un choc fiscal, en grande partie psychologique, apte à engendrer le retour des hauts patrimoines dans notre pays.
« Pauvres paysans, pauvre royaume, pauvre royaume, pauvre roi ». Dès le 18e siècle, les économistes, François Quesnay [[Économiste français fondateur de l’école des physiocrates.]] en tête, avaient compris que dans une nation, l’argent circule comme le sang dans le corps humain, que cette circulation doit être fluide, et que toute perte s’avère dommageable pour la santé économique d’un pays.
Dans le domaine de la succession, la France fait partie des pays ayant les droits d’imposition les plus élevés. Une tendance à rebours de beaucoup de pays occidentaux qui les ont abolis et dont il serait judicieux de s’inspirer.
La suppression de la taxe d’habitation puis la baisse de la CVAE (Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises) vont priver les collectivités locales de recettes fiscales directes qu’il faudra…