Dans une interview accordée au Journal du Dimanche (2 février), le ministre de l’Intérieur pense qu’une « droite réactionnaire et conservatrice s’est libérée en France ». Tout ce qui s’oppose…
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Lors de la cérémonie des Vœux de la Fédération Française des Télécoms, le ministre du Redressement productif a rappelé sa position à l’égard de la concurrence. A ses yeux, il…
Il n’est pas interdit aux pays naguère socialistes d’alléger le poids de l’Etat et de réduire drastiquement la fiscalité, notamment sur les entreprises. C’est ce qu’ont fait la Suède et le Danemark, où le chômage est bien plus faible qu’en France.
Le programme économique de l’UMP présenté lors de son Conseil national le 25 janvier dernier fait peur à Alain Juppé et à François Baroin. Ces deux derniers le jugent trop……
Jean-Philippe Delsol, administrateur de l’IREF, était l’invité sur le plateau de LCI Soir (29/01) pour décrypter les annonces faites par le gouvernement concernant la fiscalité des entreprises. Jean-Philippe Delsol a…
En France, ce sont les décideurs politiques qui fixent le prix du gaz. Pour ce faire, le gouvernement s’appuie sur les avis de la Commission de régulation de l’énergie. La régulation est tellement bien faite que les prix du gaz ont augmenté de plus de 80 % depuis 2005. Pourtant, ailleurs, le prix du gaz domestique est moins élevé qu’en France : 6.40 euros (prix moyen pour 100 kwh) en Allemagne, 5.20 euros en Grande-Bretagne et 5.40 euros en Espagne contre… 7.34 euros en France (décembre 2013).
Tous s’accordent sur la nécessité d’une remise à plat des prélèvements obligatoires. Ils sont aujourd’hui perçus à juste titre comme excessifs, d’autant plus qu’ils sont iniques et incompréhensibles. Une révolution fiscale et sociale consisterait à remédier à tous ces maux par une baisse des charges, une simplification du système et plus de transparence et d’équité au titre des prélèvements obligatoires, ceux-ci devant être mieux répartis dans les rouages sociaux. Les espoirs à cet égard sont sans doute vains.
La France a accueilli cette semaine le Sommet dédié à la « lutte contre le chômage des jeunes ». C’est une excellente initiative pour un pays où le taux de chômage des 16-25 ans atteint un taux de 26.1 %. A condition que notre pays s’inspire de ce qui se fait ailleurs, surtout en Allemagne où le taux de chômage des jeunes est 3 fois moins élevé qu’en France : 7.7 %.
Malheureusement, le gouvernement souhaite surtout continuer sur la voie de l’assistanat et profiter de ce sommet pour obtenir des fonds européens en particulier pour le financement de sa nouvelle trouvaille, la « garantie-jeune », une sorte de RSA pour les 18-25 ans. Mais ce Sommet est l’occasion pour l’IREF de rappeler que depuis 30 ans les politiques font toujours la même chose concernant les jeunes : on lance des dispositifs d’aide qui les enfoncent dans la dépendance et le chômage. Voici un rappel – non exhaustif – des systèmes mis en place pour « s’occuper » des jeunes.
La fiscalité est désormais si élevée et elle reste si difficile à comprendre, qu’elle est rejetée presque à l’unanimité. Mais, malgré quelques reculades, le gouvernement s’obstine à vouloir taxer encore plus. Jusqu’à quand ?
L’État va devoir trouver 900 millions d’euros pour garantir les engagements pris par l’AFITF – Agence de financement des infrastructures de transport de France.
Encore un scandale fiscal pour le gouvernement ?