La Poste britannique n’a pas attendu la privatisation (il y a six mois) pour se réformer. Depuis 10 ans, plus de 50 000 emplois ont déjà été supprimés et 1…
croissance économique
A l’exception de la Pologne, la plupart des pays d’Europe centrale et de l’Est ont été durement frappés par la crise. Tous renouent aujourd’hui avec la croissance. Entre 2 et…
D’après les dernières statistiques, la croissance en Grande-Bretagne a atteint le taux de 3 % (en rythme annuel) au dernier trimestre 2013. C’est le taux le plus élevé depuis 2007.…
De toutes les carences de l’économie italienne, c’est le chômage des jeunes (40 %) qui est la plus inquiétante. Le nouveau premier ministre, Matteo Renzi, s’y attaque en réformant le droit du travail, qui est néfaste et obsolète. Réussira-t-il là où Mario Monti a échoué ? Pourtant, ce qui s’est passé chez Fiat peut redonner de l’espoir.
Le nouveau Premier ministre italien, Matteo Renzi, n’a pas tardé à annoncer un vaste programme de réformes au sein desquelles figure celle du marché du travail, intitulée en anglais : « Jobs Act ». Le taux de chômage en Italie n’est pas beaucoup plus élevé que celui que subit la France : de 12.7 % en Italie contre 10.5 % en France ; mais ce sont les jeunes, de 16 à 25 ans, qui sont les plus touchés, avec un taux qui dépasse les 40 %.
Economie Matin reprend dans son édition du 10 mars les chiffres de l’IREF concernant les créations d’emplois aux Etats-Unis par rapport à la situation de l’emploi en France. Lire l’article.
Depuis la crise économique de 2008, plusieurs pays ont connu une forte reprise. Contrairement à la France dont l’économie a stagné (0 % de hausse du PIB en moyenne), les…
Hollandonomics ? François Hollande est (encore) très loin de Ronald Reagan
François Hollande se serait-il converti à la politique de l’offre ? Ou ne pratiquerait-il pas plutôt une forme personnelle de politique économique ? Le professeur Florin Aftalion (ESSEC) dénonce le faux semblant de la conversion du Président, et propose un contraste saisissant avec la « Reaganomics »
La faible reprise transforme la politique monétaire en jeu de hasard
La croissance européenne bégayant et la crainte d’une déflation mettant la BCE sous pression, devraient pousser à adopter une politique monétaire plus souple.
Dans une interview accordée au quotidien, Les Echos du 14 février, le député Hervé Mariton propose 130 Milliards d’euros de baisse des dépenses publiques sur une législature. Néanmoins, le délégué…
L’Etat français veut se mêler de tout. « Semez des fonctionnaires, il pousse des impôts » disait Clémenceau. Le dirigisme, c’est la fiscalité. Mais c’est aussi le désordre économique : la pression des corporations, les emplois perdus, la population moins active, l’assistanat pour les uns et le harcèlement pour les autres. La seule vraie réforme, c’est le retrait de l’Etat.