Selon le Ministère britannique du Travail, le nombre de personnes travaillant plus de 48 heures/semaine ne cesse d’augmenter. Une augmentation de 450 000 depuis 2010 et la fin de la…
croissance économique
Le forum économique mondial vient de publier le rapport annuel 2016-2017 sur la compétitivité mondiale, et la France gagne une place pour atteindre le 21ème rang, avec un score global de 5,2 (sur 7). La Suisse arrive en tête du classement et est suivie de près par les États-Unis en 3ème position, tandis que l’Allemagne se positionne 5ème et le Royaume-Uni 7ème. Malgré de quelques rares progrès sur le terrain de l’innovation et de la sophistication de l’activité des entreprises depuis l’année dernière, la France a vu sa capacité à attirer et à conserver les talents se détériorer. Pourquoi ? A cause d’une réglementation étouffante du travail, d’une fiscalité confiscatoire, de l’inefficacité de son administration et à cause d’une difficulté chronique à améliorer sa productivité.
Etats-Unis : 100 millions de véhicules en plus, 63 % de pollution en moins
Entre 1980 et 2015, le parc automobile américain a augmenté de 100 millions de véhicules à moteur (de 160 millions à 260 millions). Malgré cette hausse, la pollution (Les émissions globales ou les six polluants communs) a baissé de 63 % sur la même période. Tandis que le PIB augmenté de 153 %.
PIB par habitant : + 287 % au Chili / – 12 % au Venezuela
D’un côté, le Chili, un pays qui a réussi la transition vers la démocratie et qui a choisi l’économie libérale. De l’autre, le Venezuela, un régime autocratique rongé par la corruption et dont l’économie socialiste est en faillite.
Les Présidents américains JFK et Reagan, l’un Démocrate, l’autre Républicain ont pourtant ceci en commun qu’ils ont tous deux mené des politiques fiscales similaires. En effet, ils ont mis en place des baisses d’impôts significatives qui ont boosté, à l’époque, la croissance économique et augmenté sensiblement les rentrées fiscales. Quand l’histoire devrait inspirer nos dirigeants politiques.
L’Australie a voté ce week-end alors que le pays vient d’entrer dans sa 25e année de croissance économique ininterrompue. En effet, depuis 1991, il n’y a pas eu de récession et cela malgré la grande crise de 2008. Ce sont pas moins de 100 trimestres de croissance positive qu’a connu le continent australien ! Quelles sont les recettes de ce succès ?
L’IREF inspire les propositions de réforme du groupe parlementaire Génération Entreprise
Jeudi 23 juin, le groupe Génération Entreprise – Entrepreneurs Associés qui comprend plus de 160 parlementaires a remis à Nicolas Sarkozy, président du LR, le Livre Blanc intitulé « La croissance d’abord ! ».
Pour favoriser l’emploi, il vaut mieux la mondialisation que le protectionnisme
– La France importe beaucoup, mais elle exporte également beaucoup. Si l’on regarde ses partenaires, et en particulier l’Allemagne, on voit aussi que l’Allemagne est notre premier « fournisseur »…
À quelques jours du référendum britannique sur le maintien du Royaume-Uni (RU) dans l’Union européenne (UE), qui se tiendra le 23 juin prochain, les électeurs britanniques semblent pencher majoritairement pour le Brexit selon plusieurs sondages, même si le match s’annonce serré. Pourtant, même s’ils pourraient se libérer du fardeau réglementaire et des politiques d’harmonisation fiscale, la sortie du Royaume-Uni de l’UE pourrait avoir des conséquences dramatiques à la fois pour l’économie britannique mais aussi pour l’économie européenne et mondiale : d’ici à 2020, le PIB britannique pourrait être moins élevé de 70 Md€ à 125 Md€, et l’emploi total pourrait être inférieur de 350 000 à 600 000 personnes, en fonction des différents scénarios de sortie étudiés.
Selon les derniers chiffres publiés par le ministère du Travail, le chômage viendrait de connaître sa baisse mensuelle la plus importante depuis septembre 2000, avec 60 000 demandeurs d’emplois de moins sur le mois de mars et 50 000 de moins depuis le début de l’année 2016. À la fin mars, la France comptait donc 3 531 000 chômeurs de catégorie A après un recul en janvier, et à nouveau un niveau record fin février (3 591 000 demandeurs d’emplois). Mais derrière ces chiffres se cache une réalité plus ambiguë.