L’Assemblée nationale adopte en ce moment son budget pour 2022. Elle en profite pour l’allonger de 46 millions d’euros, à 608,7 millions d’euros. Cette augmentation a pour le moment été…
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Deux tiers d’abstentions aux élections régionales et départementales de ce mois de juin 2021 ! Dans une chronique du Figaro, Dominique Reynié a souligné que la cause en était sans doute que les électeurs considéraient que ça ne servait plus à rien d’aller voter. Des minorités agissantes imposent leur loi en dehors de tout scrutin et les élus font ce qu’ils veulent malgré l’expression du peuple : ils se refusent à parler librement de l’immigration alors que c’est peut-être la préoccupation principale des Français, ils sèment partout des éoliennes que bien peu les acceptent… Un sondage[[Odoxa Backbone-Consulting réalisé pour Le Figaro et Franceinfo]] a confirmé quelques jours plus tard que pour un abstentionniste sur deux, la «défiance» et le «désintérêt» étaient à l’origine de leur défaut de participation au scrutin. D’autres ont dit ne pas avoir eu les informations nécessaires (16%). Pêle-mêle, les abstentionnistes critiquent le gouvernement et les partis politiques. C’est toujours la faute des autres bien sûr !
Un contribuable tout ce qu’il y a de plus normal, retraite modeste et revenus complémentaires sans extravagance, paie en impôts sur ses revenus fonciers à peu près les trois quarts…
Projet de loi de finances rectificatives : le « quoi qu’il en coûte » n’a pas de limites
Le projet loi de finance rectificative (PLFR) pour 2021 a été adopté vendredi dernier à la l’Assemblée nationale par 38 voix contre 2. Le texte prévoit notamment l’engagement de 15,5…
L’histoire d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris est celle d’un gaspillage d’argent public et d’un manque de respect envers les contribuables. Elle s’autorise des libertés personnelles et fait preuve…
Roselyne Bachelot prend encore 150 millions au contribuable pour le cinéma
Les cinémas et les théâtres ont dû cesser leur activité pendant de longs mois, entraînant des pertes de revenus importantes. Malgré les autorisations de réouverture, les mesures sanitaires les empêcheront…
Les élus de gauche veulent aider les plus pauvres en les taxant
Des sénateurs viennent de déposer une proposition de loi d’urgence visant à apporter une réponse solidaire et juste face à la crise. En gros, il s’agit de continuer à distribuer…
Le député Les Républicains des Alpes-Maritimes Éric Pauget s’est fait remarquer la semaine dernière. Comme d’autres parlementaires il y a quelques années, l’élu de droite va déposer une proposition de loi afin de faire payer aux détenus une partie de leurs frais d’incarcération. Il souhaite ainsi appliquer le principe du « condamné-payeur ». L’objectif est double : responsabiliser les détenus et réduire la charge financière de l’Etat.
Santé publique France met vos impôts dans la propagande LGBT
Vous lisez paisiblement Le Figaro, ou bien Les Échos, et au détour d’une page, vous trouvez cette publicité. “Oui, mon père est gay.” Ou bien : « Oui, ma mère…
Les indemnités des membres du Conseil constitutionnel : un incroyable crash-test européen !
Voici déjà plus de six mois que nous entretenons nos lecteurs de l’imperturbable obstination du Conseil constitutionnel, à percevoir comme si de rien n’était des indemnités qu’il sait illégales et qui font plus que doubler la rémunération de ses membres et de son Président. Rappelons que ces indemnités proviennent d’une simple lettre en date du 16 mars 2001 de Madame Parly, alors secrétaire d’État aux finances du Gouvernement Jospin. Une lettre particulière quand même, car on avait pris la précaution de ne pas la rendre publique, sachant bien qu’elle violait expressément l’article 63 de la Constitution qui exige à cette fin l’intervention d’une loi organique. Cette semi-clandestinité protégea pendant 20 ans le pillage méthodique des deniers publics. Par effet de réciprocité, la dizaine de membres du Conseil avec leurs Présidents successifs, qui connaissent bien le prix du silence, ont empoché et continuent d’empocher collectivement aujourd’hui encore chaque année en sus de leur rémunération légale et sans titre valable un pactole total de près d’un million d’euros (rémunérations brutes).