Les compétences et la capacité de travail de notre ministre de l’Economie sont sans limites. Ses Mémoires « provisoires » (il y en aura d’autres ?) à peine publiées, il décide à la place des dirigeants de Carrefour ce qui est bon pour leur enseigne (et pour l’alimentation des Français). Le voici maintenant en train de soutenir – à sa façon – la cause des femmes. Considérant qu’une femme, même très compétente, ne peut pas arriver à un poste de direction dans une entreprise, il veut imposer des quotas. Quel mépris des femmes !
Ce ne seraient donc pas les qualités professionnelles qui devraient être déterminantes dans la nomination d’un dirigeant d’entreprise, ni le choix des actionnaires et du conseil d’administration, mais le sexe de la personne.