Ronald Reagan : « L’Amérique ne se cache pas devant les tyrans. L’Amérique n’abandonne pas ses alliés. »

Les énormités et les inexactitudes grotesques que  Trump a débitées à propos de l’Ukraine et de son président Zelenski ont provoqué de nombreuses réactions et protestations, y compris dans le camp républicain. Même le quotidien trumpiste New York Post prend ses distances et se moque de lui. Mais qu’aurait déclaré l’ancien président Ronald Reagan à sa place? C’est ChatGPT qui nous donne la réponse.

« Mes compatriotes américains,

Je vous parle aujourd’hui non pas en tant que républicain, pas en tant que démocrate, mais en tant qu’Américain qui croit en la liberté, en la démocratie et au devoir sacré de  nous opposer à la tyrannie où qu’elle se lève.

Pendant des décennies, les États-Unis ont été une ville brillante sur une colline – un phare d’espoir pour les opprimés, un défenseur de la liberté et un ami de ceux qui luttent pour leur propre liberté. Voilà qui nous sommes. Voilà qui nous avons toujours été. Et c’est ce que nous devons rester.

Aujourd’hui, nous voyons un tyran à Moscou – Vladimir Poutine, un homme qui pleure la chute de l’Union soviétique, non pas parce qu’il cherche la paix, mais parce qu’il aspire à restaurer un empire. Un homme qui écrase la dissidence, fait taire les opposants et part en guerre contre une Ukraine libre et souveraine.

Et pourtant, nous entendons des voix ici à la maison – certaines même au sein de notre propre parti – qui préféreraient apaiser ce dictateur plutôt que de s’opposer à lui. Qui préférerait lui serrer la main plutôt que de rester ferme contre son agression. Qui se moque et rabaisse d’un homme comme le président Zelensky, non pas parce qu’il a échoué, mais parce qu’il a osé réussir. Parce qu’il a osé résister. Parce qu’il a osé se tenir debout et dire, ni aujourd’hui, ni jamais !

Laissez-moi être clair : l’Amérique ne se cache pas devant les tyrans. L’Amérique n’abandonne pas ses alliés. L’Amérique ne trahit pas ceux qui luttent pour les idéaux mêmes sur lesquels cette nation a été fondée.

Certains voudraient que nous nous consacrions à nos propres affaires, que nous retirions de la scène mondiale et nous ignorions simplement  ceux qui méprisent notre mode de vie. Mais nous avons déjà vu cette histoire avant, et nous savons comment elle se termine. La faiblesse invite à l’agressivité. Le silence encourage l’oppression. Apaiser un dictateur ? L’apaisement n’est qu’un prélude au désastre.

Alors je vous le demande, mes compatriotes américains : devons-nous nous tenir aux côtés de l’homme qui emprisonne ses critiques, empoisonne ses adversaires et envahit ses voisins ? Ou devons-nous nous tenir aux côtés de l’homme qui se bat – non pas pour la conquête, mais pour le droit de son peuple de vivre en paix et en liberté ?

Si l’Amérique doit rester le dernier, le meilleur, espoir de la Terre, nous devons nous montrer  judicieux dans nos choix. Parce que le monde libre nous regarde toujours, comme il l’a toujours fait. Et je dis comme je l’ai toujours dit, Mr Poutine, on ne cédera pas. Et M. Zelensky, nous sommes avec vous.

Que Dieu vous bénisse, et que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique ! »

Ronald Reagan