Le président Sarkozy a trouvé son ennemi favori : le spéculateur qui contribuerait à la hausse des prix. Néanmoins, même l’OCDE montre que la spéculation n’y est pour rien dans la forte hausse du prix du blé, du maïs ou bien du sucre de l’année passée. Ce sont les stocks très bas qui ont atteint les niveaux des années 1970 qui en sont la cause principale. Sans oublier l’utilisation du maïs pour la fabrication de l’éthanol.
Aujourd’hui, 40 % de la production de maïs aux Etats-Unis est consacrée à l’éthanol.