Victoire : la culture échappera au libre échange atlantique ! Cette « exception française » est inspirée d’abord par la haine du libéralisme, de la concurrence, voire des Américains, ensuite par les privilèges et prébendes dont bénéficie le monde culturel français. Victoire à la Pyrrhus sans doute.
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C’est l’un des enseignements à tirer des violences récentes dans la banlieue de Stockholm. Pratiquement aucun pays n’est aussi égalitaire et redistributif que la Suède. L’Etat prend tout en charge. Mais il est incapable de résoudre les problèmes de l’immigration et de l’intégration. C’est évidemment la même chose en France.
Pour réformer il faut préparer les leaders politiques de demain
La société française est de plus en plus contaminée dans son ensemble par l’esprit de la fonction publique tant le poids de celle-ci est prégnant. Il l’est plus encore au niveau de la représentation nationale. Les fonctionnaires et autres salariés du secteur parapublic sont surreprésentés dans les fonctions politiques. De ce fait, la politique est naturellement portée à protéger cette classe dominante et à voter ou faire voter des lois au détriment de la société civile. Pour faire avancer les réformes, il faudrait changer cette situation.
L’exemple anglo-américain peut nous servir de modèle.
Les monnaies officielles concurrencées par les monnaies virtuelles : la preuve par Bitcoin
Bitcoin est le plus connu des moyens de paiement qui circulent sur le net, utilisé par 11 millions d’adhérents à son réseau. Mais les autorités publiques et les banques centrales veulent neutraliser cette concurrence, au prétexte de lutter contre les pratiques illégales, voire criminelles. La réalité est différente.
Dans le domaine de la fiscalité les bonnes nouvelles sont rares par les temps qui courent. Mais bien vite une bonne nouvelle en annonce une mauvaise. Deux exemples actuels : les hauts salaires et les auto-entrepreneurs. On n’en est pas à quelques contradictions près.
C’est un thème récurrent à l’IREF : le fisc français tue la poule aux œufs d’or et à trop taxer les sociétés il récolte moins d’argent. Voici des arguments chiffrés de nature à ôter le moindre doute : les pays qui ont la main fiscale la plus douce en sont récompensés.
Les impôts s’accumulent et le Président veut financer des emplois aidés et des emplois d’avenir, notamment dans le secteur non marchand. Diminuer les dépenses publiques et les prélèvements obligatoires est la seule façon de réduire le chômage, comme le prouve la politique de la Californie.
Le Professeur Paul Krugman prend une nouvelle fois position pour la relance et contre l’austérité. Pourtant, il est abondamment prouvé et expliqué (notamment par les travaux de l’IREF) que la dette publique ralentit la croissance économique. Les dépenses publiques et les promesses des gouvernants, c’est ce qu’on voit, le poids de la dette et le gaspillage de l’épargne et du crédit, c’est ce qu’on ne voit pas.
En refusant la vente de Dailymotion (société française) à l’américain Yahoo, Arnaud Montebourg démontre l’incompétence et la nocivité de sa stratégie. D’un côté on veut rendre la France attractive aux investisseurs étrangers, de l’autre, les entreprises françaises sont sous tutelle de l’Etat. Analyse pertinente de Lucas Léger, chercheur à l’IREF.
Les effets de la fiscalité peuvent être reproduits en laboratoire : il suffit d’observer les divers Etats américains. La baisse d’impôts est le choix fait par 30 Etats. Ils représentent 20 % de la population américaine, mais 65 % des emplois créés aux USA.