En Italie et en Espagne, les gouvernements annoncent des réformes drastiques pour faire baisser les dépenses publiques. On s’attaque aussi au marché du travail en le rendant de plus en plus flexible. Mario Monti veut rendre les licenciements plus faciles afin de stimuler l’embauche. En Grande-Bretagne, le Premier-ministre prévoit une série de privatisations. Aux Etats-Unis, les débats portent sur les baisses d’impôts et sur la réduction des tranches d’imposition.
Nicolas Lecaussin
Nicolas Lecaussin
Directeur de l'IREF, Nicolas Lecaussin est diplômé de Sciences-po Paris, ancien président de l'IFRAP (Institut Français de Recherche sur les Administrations Publiques), fondateur de l'association Entrepreneur Junior et auteur de plusieurs ouvrages sur le capitalisme, l’Etat et les politiques publiques. Auteur et co-auteur de plusieurs ouvrages dont : Cet État qui tue la France (Plon, 2005), L’absolutisme efficace (Plon, 2008), Au secours, ils veulent la peau du capitalisme ! (First Editions, 2009), A quoi servent les riches, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Lattès, 2012), L’obsession antilibérale française (Éditions Libréchange, 2014), Anti-Piketty, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions Libréchange, 2015), Echec de l'Etat, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions du Rocher, 2017), Les donneurs de leçons (Éditions du Rocher, 2019).
Toujours plus : quels que soient les candidats, ils veulent taxer, taxer davantage, et taxer les riches. La solution serait au contraire un impôt à taux unique (flat tax) pour lequel les travaux de l’IREF ont démontré qu’il augmenterait les rentrées fiscales tout en demandant moins d’efforts aux contribuables.
Dans leur ouvrage qui paraît chez Lattès, Jean-Philippe Delsol et Nicolas Lecaussin, respectivement administrateur et directeur du développement de l’IREF, dénoncent l’attaque générale, anti-économique et immorale contre « les riches ». Ils vous adressent une lettre en appelant votre soutien :
achetez le livre pour nous permettre de continuer le combat en faveur de la liberté économique et fiscale !
Jean-Luc Mélenchon, invité fréquent des médias, a un programme qui renvoie aux heures les plus sombres du totalitarisme : la Terreur de 1793 ou le stalinisme. Mais apparemment personne ne s’en émeut ! En rappelant quelques phrases et quelques mesures clés du totalitaire de service, Nicolas Lecaussin, directeur du développement de l’IREF, clame son indignation.
Un « Buy European Act » ? L’idée circule : pour garder les emplois en France, les commandes des administrations françaises devraient porter sur des produits français. Au niveau européen, cette mesure serait la réplique de ce que vient de faire Barack Obama aux USA. La mondialisation serait-elle détruite par une nouvelle vague de protectionnisme au prétexte fallacieux de créer des emplois ?
700 000 dollars dans le développement des entreprises ! Un Rapport publié par la Angel Capital Association basée à Austin (Texas) vient de démontrer que, malgré la crise économique, les…
Il est professeur de sciences politiques à l’Université de Rennes-I et il a eu le courage de s’attaquer à Pierre Bourdieu, le sociologue « de référence » pour la gauche.…
Le président Obama avait lancé un programme de 10 Milliards de dollars en 2009 pour encourager la création d’emplois verts dans l’industrie américaine. Aujourd’hui, l’administration affirme qu’environ 100 000 emplois auraient été créés grâce à ce programme. Ce qui revient tout de même à 100 000 dollars l’emploi.
Plusieurs mesures viennent d’être adoptées par le gouvernement. D’abord, en faveur des artisans, afin de faciliter la transmission d’entreprises, l’innovation ou l’acquittement des factures de l’Etat. Par ailleurs, 145 mesures visent la simplification de la vie des entreprises afin de réduire le temps passé par les chefs d’entreprise pour remplir la paperasse administrative.
Un article signé par Stephen S. Roach, ancien du Morgan Stanley en Asie, et publié par le quotidien belge L’Echo, revient sur la crise asiatique de 1998 et sur les mesures prises par les pays touchés à l’époque. Alors que les PIB plongent (- 5.7 % pour la Corée du Sud en 1998), des mesures structurelles sont immédiatement prises : contrôle strict des finances publiques, réforme de la gouvernance d’entreprise, baisse des dépenses et des déficits publics.