Dans une lettre interne à l’ensemble des gendarmes dévoilée mardi par Le Monde et Intelligence Online, le patron de la gendarmerie nationale, Hubert Bonneau, estime que “depuis l’invasion russe en Ukraine, la possibilité d’un conflit armé et d’une agression du sanctuaire national doit être sérieusement envisagée”. Ce mémo évoque “l’hypothèse d’un engagement majeur”, ajoute que “les évolutions politiques aux Etats-Unis avec leurs possibles conséquences sur l’Otan, vont sans doute pousser l’Europe à s’engager plus avant pour sa propre défense”.
“En tout point du territoire national, notamment Outre-mer, différents acteurs et compétiteurs cherchent à déstabiliser la Nation. Face à cela, je veux insister sur notre lien avec les Armées et sur l’enjeu structurant de la DOT (Défense opérationnelle du territoire)”, insiste le général. “En tant que force militaire, nous avons le devoir de nous y préparer pour tenir notre place”, écrit encore le directeur général de la gendarmerie nationale. Cette lettre a été accueillie avec circonspection par certains responsables de la gendarmerie
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Quand on assiste à la haine viscérale de deux population en France complètement opposés sur tous les actes de la vie, quand on voit notre assemblée nationale réduit à une cour de récréation d’école primaire dont les élus se moquent éperdument d’établir des lois pour améliorer la vie des français et empêchent même tout débat, quand il devient impossible de voter un budget en France, pour le bon fonctionnement de c e pays, quand tout compromis politique semble impossible, une guerre civile me semble inévitable, mais ou se trouveront les services d’ordre et l’armée: du coté de l’anarchie ou du coté de l’ordre
Ce général est à la botte de la macronie, il s’est fait la voix de son maître.
Au lieu de souhaiter plus de guerre encore, pourquoi ne pas oeuvrer pour la paix?
Aussi lucide que dans les années 1930 tout ce beau monde…