Welcome to IREF Europe FR   Click to listen highlighted text! Welcome to IREF Europe FR

Institut de Recherches Economiques et Fiscales

Faire un don

Nos ressources proviennent uniquement des dons privés !

Journal des Libertes
anglais
Accueil » Les changements climatiques « dangereux » et les phénomènes météorologiques extrêmes ne sont pas causés par les émissions de CO2 des combustibles fossiles

Les changements climatiques « dangereux » et les phénomènes météorologiques extrêmes ne sont pas causés par les émissions de CO2 des combustibles fossiles

par
2 951 vues
Trois éminents chercheurs témoignent contre le GIEC à la Cour de La Haye.
Nous publions la synthèse de leur « opinion » établie par leurs soins

« Cet avis d’expert a été préparé pour la Fondation « Environnement et Homme » (Stichting « Milieu en Mens », M&M) en vue d’être soumis à la Cour d’appel de La Haye dans l’affaire Shell c. Milieudefensie et al, dans laquelle M&M est intervenue (l’« Affaire du climat »).

Cet avis a été rédigé conjointement et représente notre opinion commune. Le temps que nous avons consacré à la rédaction de cet avis a été fourni à titre gracieux.

Nous sommes des physiciens de carrière qui se sont spécialisés depuis des décennies dans la physique des rayonnements, le transfert de chaleur dynamique et la modélisation informatique, des sujets directement liés au débat sur le réchauffement climatique.

Chacun d’entre nous a publié plus de 200 articles évalués par des pairs, dont un grand nombre sur la science du climat ou des sujets étroitement liés. Nos curriculum vitae sont joints en annexe.

À notre avis, les conclusions du tribunal de district de La Haye selon lesquelles les changements climatiques « dangereux » et les phénomènes météorologiques extrêmes sont causés par les émissions de CO2 des combustibles fossiles sont contredites par la méthode scientifique et ne sont étayées que par les méthodes non scientifiques des opinions gouvernementales, du consensus, de l’examen par les pairs et des données triées sur le volet ou falsifiées.

La science démontre que les combustibles fossiles et le CO2 ne provoqueront pas de changement climatique dangereux. Au contraire, si les combustibles fossiles et les émissions de CO2 sont réduits à « zéro net », cela aura des conséquences désastreuses pour les populations du monde entier, y compris une famine massive.

Plus précisément, notre avis s’articule autour des questions clés suivantes, qui ont été soulevées devant le tribunal de district de La Haye dans l’affaire du climat :

  • Premièrement, la réduction à « zéro net » des émissions de combustibles fossiles et de CO2 aura des conséquences désastreuses pour les pauvres, les populations du monde entier, les générations futures et l’Occident, notamment une famine de masse et la perte d’une énergie fiable et peu coûteuse. Cette action portera atteinte aux droits de l’homme, qui sont au cÅ“ur de l’affaire climatique, et paralysera la réalisation des trois premiers objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, à savoir l’élimination de la pauvreté, l’élimination de la faim et la promotion de la santé et du bien-être.1
  • Deuxièmement, la Cour a assimilé en première instance l’état de la science du climat aux rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Dans la partie II, nous démontrons que les rapports du GIEC n’ont aucune valeur scientifique car le GIEC est contrôlé par le Le GIEC ne représente donc que les opinions du gouvernement, et non la science, et ne fournit donc aucune base scientifique pour l’avis de la Cour2.
  • Troisièmement, la Cour a estimé en première instance que les changements climatiques « dangereux » et les phénomènes météorologiques extrêmes sont causés par les émissions de CO2 provenant des combustibles fossiles. Nous démontrons dans la partie III que ces conclusions sont contredites par la méthode scientifique et ne sont étayées que par les méthodes non scientifiques du consensus, de l’examen par les pairs, des avis gouvernementaux et des données sélectionnées ou falsifiées. Des centaines d’articles de recherche confirment les effets extrêmement bénéfiques de l’augmentation des concentrations de CO2 dans l’atmosphère, en particulier dans les régions agricoles sèches.

Richard Lindzen – Professor of Earth, Atmospheric, and Planetary Sciences, Emeritus Massachusetts Institute of Technology

William Happer – Professor of Physics, Emeritus Princeton University

Steven Koonin- University Professor, New York University, Senior Fellow at the Hoover Institute November 30, 2023 Court of Appeals The Hague The Hague The Netherlands

Lire le témoignage complet (anglais) sur le site Climat et vérité

Lire la traduction française

Abonnez-vous à la Lettre des libertés !

Laissez un commentaire

7 commentaires

nanard 31 octobre 2024 - 9:07 am

bonjour, les curieux iront voir sur internet la définition de ENSO (el nino, la nina), pourront y voir des animations qui expliquent le phénomène ( par exemple : https://www.youtube.com/watch?v=MLAVDHDhEC4 ) et surtout consulteront : https://lejournal.cnrs.fr/articles/un-apres-son-eruption-les-lecons-du-volcan-hunga-tonga. Cet « accident » nous réserve encore des surprises. Conclusion nous apprenons encore….

Répondre
duriiez 31 octobre 2024 - 9:14 am

l’évolution du climat met en jeu une multitude de facteurs. Comme souvent il en existe de prépondérants mais également de séduisants qui peuvent nourrir des idéologies parfois fantaisistes. Il faut être humble et vigilant dans l’analyse des faits et ne pas céder aux a priori. Le GIEC émet des avis mais ces avis doivent être confrontés à d’autres pour pouvoir en extraire des orientations qui elles mêmes doivent être confrontées à d’autres critères avant d’en faire des règles absolues.

Répondre
Nemouk 31 octobre 2024 - 9:46 am

« le GIEC est contrôlé par le Le GIEC » ?

Répondre
Laurent46 31 octobre 2024 - 10:14 am

Une fois de plus qui a permis de construire en zones inondables, ce qui se fait encore aujourd’hui. Les même idiots n’ont fait que des coups tordus en canalisant ou pire encore en couvrant ruisseaux, torrents, rivières et même fleuves pour le fric d’une caste mafieuse d’irresponsables. Pour les incendies c’est idem à cause de toute cette irresponsable boue écolos les forêts deviennent impraticables tellement il y a de branches mortes alors qu’autrefois avant les 50 dernières années et l’arrivée de toute cette racaille écolos les propriétaires de forêts étaient tenus de les nettoyer régulièrement faute de PV. Il est vrai aussi qu’à cette époque là il y avait un garde champêtre qui circulait à pied à travers les communes avec son petit carnet tous les jours de la semaine alors que de nos jours ils sont aux 35 h de présence et le Q vissé dans une voiture, s’il n’ont pas la mission de coursier pour ma Mairie, comme ils sont peu nombreux aujourd’hui à simplement nettoyer devant leur porte ou propriété. La fainéantise et la responsabilité est à tous les étages.

Répondre
Cardonne Yves 31 octobre 2024 - 10:18 am

D’affreux complotistes … à coup sûr ! Quand allons nous nous réveiller ?

Répondre
BRUNO GERMAIN 31 octobre 2024 - 1:07 pm

En effet, ces très brillants savants confirment que le dérèglement climatique clamé à tout va 24h sur 24H par les idéologues bien pensant d’une gauche despotique et dont la culture scientifique est médiocre, voire au niveau zéro, n’est qu’une irréalité, vaste tromperie et nous conduire toujours à la culpabilité, au péché mortel et à l’enfer.
A l’échelle de l’univers infini et sur des milliards de milliards d’années, l’on peut ou l’on doit se poser la question sur l’innovation, le moteur à explosion, le four à pain du boulanger, le réfrigérateur, l’éclairage électrique, le téléphone (quelle invention inutile et stupide de Graham Bell !) et patati et patata ……
Sans être savant bien-sûr, mais réfléchissant un peu, leurs profonds travaux me confortent dans mes intuitions de brave terrien.
Je m’arrête modestement là car ce débat est immense, hors de notre échelle et doit être abordé avec modestie et surtout intelligence, loin des poncifs habituels. Bon sang ! Je vais certainement me faire rembarré ou insulté.
Cela n’empèche pas de ne pas gaspiller nos ressources, mais c’est autre-chose.

Répondre
Lipcey 31 octobre 2024 - 2:33 pm

Attention, la traduction française dit, à un endroit dans la conclusion, le contraire de ce qui est écrit et de la thèse défendue : « sans combustibles fossiles, il n’y aura pas d’engrais azotés et donc pas de famine de masse…». Le texte initial est « and thus mass starvation » qui se traduit , évidemment, « d’où famine de masse ». Comment peut-on laisser passer un pareil contresens ?
Encore une belle illustration de l’expression italienne : tradutore = traditore, difficilement traduisible : traducteur = trahisseur, mais ce mot n’existe pas en Français.

Répondre

Click to listen highlighted text!