Olivier Faure, le Premier secrétaire du Parti socialiste, peut changer d’avis comme de chemise (rose) au sujet de La France insoumise et de Jean-Luc Mélenchon, il y a au moins un sujet sur lequel il ne varie pas : la fiscalité.
- 20 mai 2022 : sur Europe 1, il déclare : « il faudra prendre l’argent là où il se trouve » ;
- 17 juin 2024 : sur Franceinfo, il déclare : « Ceux qui peuvent payer doivent payer. (…) On ferait mieux d’aller chercher l’argent là où il se trouve ».
Mais où diable se trouve ce maudit argent ? Pardi, chez les riches bien sûr et au sein des grandes entreprises qui font des « superprofits » !
Alphonse Allais disait, lui : « Il faut prendre l’argent là où il se trouve : chez les pauvres ». L’humoriste ajoutait : « Ils n’ont pas beaucoup d’argent, mais il y a beaucoup de pauvres ».
La boutade relevait du bon sens. En effet, un grand principe de la fiscalité veut que l’impôt doive beaucoup rapporter. A cet effet, mieux vaut prendre peu à beaucoup (riches comme pauvres) que beaucoup à peu.
Autrement dit, la base de l’impôt doit être large et son taux modéré. C’est ce qu’Olivier Faure, démagogue socialiste, n’a manifestement toujours pas compris.
3 commentaires
Il faudrait commencer par lui expliquer, à lui ainsi qu’à nombre de gauchistes, la différence entre un stock et un flux mais cet homme est terriblement obtus.
L’égalité c’est la flat tax. Tout autre système c’est du vol.
Le propre de ces hommes de gauche est d’avoir une relation très particulière à l’arithmétique.