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Le déni de l’endettement public à gauche

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Le Nouvel Obs consacre une chronique à la dette publique intitulée « Gardons la dette froide ». « Il n’y a aucune raison de céder à la panique », assure Pascal Riché, et ce, pour une double raison : la baisse de son poids relatif grâce à l’inflation et l’absence de crise de confiance de la part des marchés.

Selon le journaliste, « la réduction de la dette est un défi complexe, qui doit se traiter sur le long terme ». En conséquence, il ne faut ni « foncer tête baissée dans des programmes d’austérité », ni « réduire les dépenses sans réfléchir ».

Il est malheureux que la plus grande partie de la gauche française continue de faire preuve de cécité sur la question des finances publiques. Continuer de dépenser à tout va, creuser les déficits et n’agir que sur le long terme (quand nous serons tous morts, pour paraphraser Keynes) : s’agit-il vraiment d’un programme digne de ce nom ?

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2 commentaires

DEL 25 avril 2024 - 7:23

Décidément, les vedettes se retranchent à gauche … Avec des mentalités et des réactions comme ça on est sûr d’arriver à des bon résultats !

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Jean-Aymar de Sékonla 25 avril 2024 - 9:16

Le monde se divise en deux parties:
-Ceux qui créent.
-Ceux qui profitent.
Je vous laisse classer M. Riché dans l’une de ces catégories…

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