En octobre 2020, nous avons publié un article concernant les révélations du New York Post sur des dizaines de mails du fils de Joe Biden, Hunter, grâce auxquels on a découvert ses activités en tant que « consultant » pour le compte d’entreprises ukrainiennes et chinoises. Des affaires très lucratives car il est question de millions de dollars. Les mails ont donné aussi plein d’autres informations croustillantes sur les relations de Hunter Biden et sur le rôle qu’aurait joué son père. Certains mails semblaient même indiquer que Joe Biden, à l’époque candidat à la présidence des Etats-Unis, aurait profité financièrement des « affaires » de son fils.
Les médias « progressistes », en particulier le New York Times,  avaient ignoré l’affaire ou nié même l’authenticité des mails découverts dans l’ordinateur portable du fils Biden. Twitter a bloqué le compte du NYPost pendant près de deux semaines et Facebook a utilisé des algorithmes pour occulter l’histoire. Cela a privé les électeurs d’informations importantes qu’ils auraient pu connaître avant les élections. Or, voici que les mêmes médias, y compris le New York Times, confirment les faits.
Le scandale, révélé quelques jours seulement avant les élections américaines, aurait dû porter atteinte, si les médias s’en étaient emparés, à l’image de Joe Biden. Ils ont préféré ne pas en parler. Pourtant, ni Hunter Biden, ni l’équipe de campagne de Biden n’ont nié que l’ordinateur portable appartenait bien à Hunter. Et l’ancien partenaire commercial de Hunter Biden, Tony Bobulinski, a rendu public des documents avec une partie du contenu de l’ordinateur portable.
Les documents montrent que Hunter cherchait à utiliser le nom de Biden pour profiter d’un accord commercial avec une société basée à Shanghai ayant des liens avec le gouvernement chinois. Un mail de mai 2017 de l’associé de Hunter, James Gilliar, montre aussi que Hunter détenait 20% du capital de l’entreprise, tandis que  par ailleurs  « 10 %  dudit capital était mis  de côté pour le grand gars ». M. Bobulinski dit que le « grand gars » est Joe Biden. À ce jour, les Biden, père et fils, n’ont toujours pas justifié ou expliqué cela.
Les mails indiquent aussi clairement que Hunter profitait du nom de Biden, notamment en tant que membre du conseil d’administration de Burisma, une société gazière ukrainienne. Il s’agit de trafic d’influence et ces faits auraient su être diffusés avant les élections de novembre 2020. Ils sont toujours d’actualité et l’enquête devrait désigner clairement les responsables. Si les médias avaient été honnêtes en 2020, Joe Biden aura-t-il perdu l’élection ?
5 commentaires
Les médias « progressistes » sont autant (pas OTAN) de nouvelles cathédrales Saint-Déni de justice.
Cela rappelle d’autres silences concernant les multiples casseroles de notre président, consciencieusement ignorées avant son élection, et que personne ne sort pour cette élection non plus. Le rapport de la commission d’enquête du Sénat sur les ‘cabinets de conseil ‘étrangers devrait faire la une des journaux…silence pudique. Sa candidature devrait, et aurait dû être invalidée, en 2017 comme en 2022.
Belle précision, enfin. Et il faut que ce soit l’IREF qui nous en donne la primeur officielle Biden, Macron, tous les médias assistés, même combat. Tout ce monde n’est quand même pas bien propre. Mais je reste conscient que ça ne date pas d’aujourd’hui et que lorsqu’un conflit se profile les dérives s’amplifient.
Il fallait bien prendre la place de Trump, et tous les médias complices ne faisaient pas leur travail d’information, mais par contre ils sont, depuis longtemps maîtres dans le domaine de la désinformation voire de l’intoxication; tout comme en France. En France, si les avantages financiers (journaux et journalistes( je sais, j’en ai eu un dans ma famille) ) n’existaient pas nous serions informés par les médias qui feraient normalement leur travail, c’est à dire tout simplement rapporter les faits, que les faits, le tout sans interprétations personnelles, politique ou d’intérêt privé.
Bonjour, le même scénario par un fils de Donald Trump, aurait déjà fait le tour de la planète dans les médias subventionnés, et ce, en ouverture du 20 h de TF1 et de BFMTV. Nous retrouvons notre brave -Face de Bouque-, en censurateur avisé, tout comme pour la grande supercherie climatique, rentabilisé par le Greta Recette, aussi dénommée le casse du siècle: https://climatetverite.net/2022/01/14/google-censure-le-dr-roy-spencer/ . Même avant cette révélation, ce personnage ne m’inspirait pas, il y l’archétype de l’Onusien et de sa sombre officine le Giec, organismes qui passent leur temps à vouloir contrôler l’activité et la pensée humaine. Merci. Bien à vous