Certaines coïncidences ne trompent pas. Aux Etats-Unis, l’administration Biden a annoncé la fin prochaine des allocations chômage hebdomadaires supplémentaires (autour de 300$/ semaine). L’effet a été immédiat sur le nombre de demandeurs d’emploi, ils étaient 424 000 la troisième semaine de juillet contre 400 000 pour la dernière semaine de juillet. Les économistes anticipent que la baisse va se poursuivre dans les prochaines semaines. Un sondage du Morning Consult montrait, en juin dernier, que deux millions d’américains, contraints d’arrêter de travailler à cause du confinement, devraient revenir sur le marché du travail d’ici à la fin de l’année. Ce même sondage montrait que les Américains se sont habitués à recevoir de l’argent sans travailler, chose peu commune au pays du travail roi. En effet, 45% des sondés expliquaient avoir refusé des offres d’emploi parce qu’ils touchaient le chômage. Ce comportement a un effet économique important sur le marché du travail puisque les employeurs font face à une pénurie de main d’œuvre et se retrouvent dans l’obligation d’augmenter les salaires pour recruter.
Aux Etats-Unis, les allocations chômage baissent et les Américains retournent au travail
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3 commentaires
Aux Etats-Unis, les allocations chômage baissent et les Américains retournent au travail
En France elle augmentent et sont données largement a tous ceux qui le désirent et qui ne retournent pas au travail
Aux Etats-Unis, les allocations chômage baissent et les Américains retournent au travail
Pas si cons les Americains…….
Aux Etats-Unis, les allocations chômage baissent et les Américains retournent au travail
Pauvres américains qui sont obligés de travailler pour vivre!
Heureusement, La France, pays évolué, modèle d’équité, de bon sens, de bonheur, de bien-être, de bonne gestion, n’impose pas cette infamie à ses « citoyens ».
Ces derniers l’ont d’ailleurs bien compris en refusant d’élire des représentants, « valets des capitalistes exploiteurs », ou mieux encore, en s’abstenant de voter, laissant ainsi la place à des élus les caressant dans le sens du poil ou complétement déjantés.