Institut de Recherches Economiques et Fiscales

Faire un don

Nos ressources proviennent uniquement des dons privés !

Journal des Libertes
anglais
Accueil » Vaccination en Europe : Thierry Breton nie la réalité

Vaccination en Europe : Thierry Breton nie la réalité

par
124 vues

Sur le plateau du 20h de TF1 dimanche soir, Thierry Breton, commissaire européen au marché intérieur, s’est refusé à avouer l’échec européen en matière de vaccination. Pour lui, l’Europe a bien fait d’être plus lente que les autres pays comme les Etats-Unis ou le Royaume-Uni. En effet, « on est sûr qu’en Europe, lorsqu’on est vacciné, on n’a pas de problème ». Il nous explique même que le retard vaccinal n’est pas la réalité…

Pourtant, à ce jour, les États-Unis ont administré 34 doses de vaccin pour 100 habitants, le Royaume-Uni, 40 et la France seulement…12 ! L’Etat français n’est pas le seul coupable. La centralisation européenne de la vaccination a été un échec. Les dirigeants européens doivent le reconnaître et engager des réformes structurelles, en particulier de la bureaucratie bruxelloise qui bride toute volonté d’exécution. Redécouvrir le principe de subsidiarité est le seul moyen d’avoir une UE efficace, et d’amoindrir ainsi les critiques et la méfiance des citoyens.

Abonnez-vous à la Lettre des libertés !

Vous pouvez aussi aimer

Laissez un commentaire

1 commenter

Astérix 23 mars 2021 - 8:34 am

Vaccination en Europe : Thierry Breton nie la réalité
Assez, le seul moyen de ne plus être écrasé par tous ces fonctionnaires de Bruxelles, ces normes, ces règlements imbéciles qui nous paralysent, c’est de sortir de l’Europe.
Il faut que notre Pays retrouve sa liberté, soit maître de ses décisions, autonome; il ne le sera qu’à la condition:
– De retirer également tous pouvoirs à nos fonctionnaires français qui rivalisent d’idées pour nous empêcher d’avancer, par des règlements sans cesse plus stupides, et en les transférant vers le secteur privé qui, lui, saura faire le ménage !
– D’interdire dans la constitution toute fonction politique aux énarques et fonctionnaires.
Seules l’armée et la police doivent dépendre de l’état

Répondre