Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, a estimé qu’elle avait vu l’impact du changement climatique lors de son voyage en Amérique du Sud. En effet, elle affirmé que les habitants partaient en grand nombre car ils ne pouvaient plus cultiver les terres. L’immigration de ces populations aux Etats-Unis est donc le fait de la sécheresse et du manque d’agriculture.
Or rien n’est plus faux ! En effet, le météorologue Joe Bastardi explique dans un article le réel impact de la sécheresse dans ces pays, en démontrant d’une part qu’il existe de fortes zones humides dans les pays tropicaux et d’autre part que la production agricole ne fait qu’augmenter. Par exemple, la production de bananes au Guatemala est passée de 955 000 tonnes en 2000 à 3 887 439 tonnes en 2017 ! Même chose pour le blé au Salvador dont la production, pour la même période, est passée de 582 676 à 904 000 tonnes.
Pour les responsables politiques progressistes, tout mensonge est bon pour appuyer leur politique.