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Les Mythes des emplois verts

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L’Etude de l’IREF démystifie le monde des emplois verts et démontre que leur coût très élevé contribue à la déstruction des emplois dans le privé. Voici les principales conclusions de l’étude : – Le Grenelle de l’environnement c’est 200 Mds d’euros sur 10 ans – L’emploi vert : une définition floue dictée par les subventions publiques – 1 emploi vert coûte 400 000 euros par an contre 55 000 euros dans le privé (en moyenne) – Le Grenelle de l’environnement détruit environ 700 000 emplois marchands – Les emplois verts réellement créés ne subsistent que grâce à l’argent public – Partout en Europe, les emplois verts détruisent des emplois dans le privé – Cesser la création d’emplois verts artificiels et encourager l’innovation privée

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10 commentaires

Anonyme 18 mars 2011 - 8:37 am

balkanisation de la France
Notre pays veut remplacer l’Union des Républiques Socialistes et Soviétiques ! 26 régions, 26 unions !! L’éducation principale de notre pays : l’illettrisme ! Et dire que Montesquieu a écrit que le commerce est source de pays et l’ignorance source de violence ! La solution existe, les Tunisiens et les Egyptiens nous ont montré le chemin ; surprenons nos élus !!!

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Anonyme 20 mars 2011 - 8:37 am

OUI monsieur, sortant de
OUI monsieur, sortant de cette économie soviétique qui s’est installée indieusement dans notre pays, où 56 % de la dépense publique est détournée de la création annuelle de richesse de leur créateurs.

Rendons la Liberté*, la Responsabilité* et le Propriété** comme en 1789, vive la révolution des bourgeois avant que notre pays connaisse le mauvais sort des pays soscialistes qui ont tous échoués.

(*) Art 4 et (**) 17 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen

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Anonyme 18 mars 2011 - 6:20 pm

Emploi vert ???
Attendez de payer la facture du démantèlement des centrales nucléaires ayant dépassées leurs durées de vie initiales. Après vous parlerez d’emploi vert.

Démantèlement repoussé pour certaines jusqu’à quand d’ailleurs?

« Partout en Europe, les emplois verts détruisent des emplois dans le privé »

L’Allemagne doit être au bord du gouffre alors ?

Mr Leseney Habib

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Anonyme 5 juillet 2011 - 12:55 pm

+ 1
tout a fait d’accord avec ce commentaire.

Je lis regulièrement des articles de L’IREF mais vraiment parfois je trouve que les argumentations des articles ne sont pas approfondis …

Comme le dit cette personne, quid des couts liés aux centrales nucleaires ??!

Dans vos artcicles il serait interressant d’avoir egalement une vision long terme de vos demonstartions.

En effet , il est facile de dire que les emplois vert coute cher (ce que je nie pas) mais avez vous vraiment calculé le couts reel d’une centrale sur long terme…??

Pas sur que ce ne soit pas la centrale qui coute le plus cher…

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Anonyme 18 mars 2011 - 8:30 pm

LES POLITIQUES NE SERVENT PLUS A RIEN
Trop nombreux sont ces politiciens qui vivent de la spoliation fiscale sur tout ce qui bouge… Rien de plus aisé de travailler avec l’argent des autres. Trop de gens dans notre pays grassement payés à se tourner les pouces…Il y a vraiment du ménage à faire… RDV 2012.

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Anonyme 19 mars 2011 - 10:40 am

Bonjour,

Votre article est
Bonjour,

Votre article est intéressant et bien documenté comme toujours.

Cependant ne peut-on pas imaginer que cette industrie verte et ces emplois subventionnés, si il est bien établi qu’ils vont avoir dans un premier temps un impact négatif sur l’économie, seront par la suite, lorsque la filière sera bien établie, une vraie source de croissance ?

Je veux dire qu’il est sans doute nécessaire d’en passer par là si l’on veut de toutes pièces créer un nouveau marché là où il n’y a pas encore (pour l’instant) de réelle demande (c’est le rôle du politique de tenter de prévoir à long et très long terme (enfin cela devrait être son rôle !))

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Anonyme 20 mars 2011 - 4:04 am

MYTHE DES EMPLOIS VERTS
On le savait, mais vous avez eu la patience et la rigueur de le chiffrer!

J’en sais quelque chose, chimiste et employé comme… surveillant de nuit!

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Anonyme 20 mars 2011 - 7:32 pm

commentaire
votre article comporte des chiffres tellement aberrants qu’ils en deviennent incohérents

être contre tout sans rien proposer alors même que les énergies fossiles vont se raréfier, n’est pas raisonnable

certes le tout vert n’est pas souhaitable mais le tout polluant non plus

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Anonyme 5 juillet 2011 - 12:58 pm

tout à fait !

vraiment deçu
tout à fait !

vraiment deçu par le manque d’analyse de cet article et votre vision court terme.

Vision semblable à celle de la majorité des politiques et chef d’entreprise actuels…

Votre copie est à revoir !

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deck614 15 juin 2015 - 12:58 pm

mais la politique verte tranche dans les couts de la pollution
Je suis écologiste "dans l’âme" – comme de plus en plus de citoyens, élu local, créateur et chef d'entreprise (non-"verte"). Libre-penseur et humaniste, je respecte le réflexe de pensée libéral lorsqu'il s'accompagne d'une responsabilité collective d'égale importance (par exemple, le capitalisme rhénan…)
Je me méfie du marché pur, cette "main invisible", qui ne réagirait qu'aux soubresauts des besoins immédiats exprimés par les individus. La main invisible n'a rien d'humain, elle est encore moins inquiète de l'humanité et cette dernière n'est pas constituée uniquement de chefs d'entreprise libéraux, loin s'en faut.

C'est très difficile de faire une équation de coûts, on le sait.
Par exemple, chaque emploi vert répond à la nécessité de diminuer notre impact sur la planète. L'année dernière, nous (l'"Humanité", guidée par la main invisible) avons commencé à puiser dans la réserve non reconstituable de la planète, c'est à dire que nous sommes en train de remplacer la vie sur terre par un désert (notez que Mars n'est pas habitable). Cet impact a donc certainement un coût démentiel, avec un "effet boule de neige" dont on commence à imaginer la taille finale (celle d'une planète vide).

En outre, il est très normal qu'un emploi subventionné, vert ou non, coute plus à la collectivité (qui procure l'investissement, dans le but de résoudre un problème collectif) qu'un emploi non subventionné (pour lequel l'investissement, minimalisé pour un profit à court terme, est procuré par des privés).
De plus, il faut comparer ce qui est comparable : former et équiper un ingénieur en énergies renouvelables (ou un pilote de chasse, pour donner un autre exemple de besoin collectif) nécessite bien plus d'investissement que recruter et habiller un vendeur d'assurances déjà expérimenté, par exemple.

Les emplois verts ne répondent pas coup pour coup à une nécessité économique annoncée par le marché : ils ne peuvent donc occuper la place d'emplois classiques!
Le secteur vert est toutefois ouvert à la concurrence : vous pouvez donc vous y frotter et réussir votre entreprise, même libérale – c'est à dire, par principe, sans investissement provenant d'une collectivité – mais ce serait pousser "l'évangile libéral" trop loin, puisque les subventions existent…
Et si vous préférez des investissements privés, vous pouvez toujours essayer de convaincre l'argent qui dort, du moins si votre idée (non spécialement verte) rapporte.

Je ne suis hélas pas équipé pour chiffrer l'impact de la désertification planétaire sur mon porte-monnaie mais, vous qui semblez être équipé, terminez donc votre équation de coûts avec tous les paramètres en jeu. Du moins, si vous vous sentez poindre en vous "une certaine responsabilité collective"…

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